"La souffrance ne fait pas partie de la vie créative de l’homme, elle fait partie de la vie existentielle, planétaire de l'homme involutif. La souffrance est un affront continu contre l'intelligence et contre la lumière de l'homme, elle est anti-homme. La souffrance est un instrument de l'involution, elle fait partie de l'expérience de l’âme, de l'esclavage et de la domination astrale sur l’homme..." BDM
BDM: "D'autres personnes continueront ce travail de développement pour comprendre réellement les mécanismes occultes de la conscience. Ce sera important pour l’homme de pouvoir, en tant qu’ego, se référer à cette science-là pour comprendre sa relation avec sa source, donc avec les forces voilées qui font partie de sa supraconscience, afin de se protéger sur la terre et de vivre une vie de plus en plus agréable".
AVANT-PROPOS
"Être sur le chemin de l’évolution c’est mener une étude" BdM PE-028
Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction "descendue" par BDM de façon créative, collaborative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, dont la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Vous pouvez proposer un thème, un sujet qui sera mis en ligne après vérification. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, l'anonymat est garanti.
** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour ego surdimensionné… iront directement dans la corbeille.
BDM/FP: 053 Le désordre et la souffrance (résumé)
Si l'homme était capable de passer de l'involution à l'évolution il n'y aurait pas de souffrance, il sera obligé de transmuter ses illusions, automatiquement il y aura souffrance.
L’homme sera obligé de vivre une initiation, parce qu'il ne peut pas vivre une fusion instantanée, il vivra graduellement une intégration de son énergie et cette intégration de l’énergie le fera vivre certains moments de souffrance mais il aura une science pour voir au-delà des murs de cette souffrance et s’il est suffisamment évolué, mental, « dé-egoifié » il sera capable de mettre le tranchet dans cette situation et il pourra intégrer la vie interne et la vie matérielle.
Mais s’il se spiritualise, s’il se fait prendre dans les illusions astrales de sa conscience spirituelle il vivra une souffrance très poussée.
Si l'homme pendant l’involution a cru au pouvoir ou à la valeur de la pauvreté, ou a cru au pouvoir ou à la valeur de la souffrance, ça faisait partie de son initiation astrale ; ça faisait partie de ses illusions spirituelles.
PE 044 l'interprétation de la souffrance (résumé)
Un des éléments les plus difficiles à faire ressortir d’un nouveau modèle ésotérique ou occulte de conscience humaine, c’est la personnification ou la description objective des éléments constructeurs de la psychique.
L’être humain en tant que conscience exploitée par des mondes parallèles à peu de voyance objective en ce qui concerne la constitution fondamentale de son moi dans l’expérience de vie sur le plan matériel.
Ce qu’on vit dans notre expérience psychologique tous les jours de notre vie c’est la perception objective de la pellicule de notre vie, mais on ne connait pas et on ne comprend pas les mécanismes constructeurs derrière la pellicule.
La conscience évolutive évolutionnaire tente de commencer ce travail qui permettra à l’homme en tant qu’individu de réellement prendre conscience de son moi et des mécanismes constructeurs, derrière la pellicule de son expérience personnelle.
L’homme vit simplement sur terre une expérience dont il ne peut pas comprendre le fondement ou la fondation, et dont il ne peut pas non plus exécuter la tracée occulte, c'est-à-dire en comprendre la fonction, la destinée, et l’empirisme psychologique fondamental qui fait partie de son lien extrêmement caché avec les mondes parallèles.
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La conscience vibratoire c’est une atmosphère qui est infinie à l’intérieur de laquelle l’homme baigne, à l’intérieur de laquelle l’homme en relation avec laquelle l’homme est connecté, à travers des antennes qui sont particulièrement complexes, sensibles, qu’on appelle les corps subtils de l’homme, le corps éthérique, le corps astral, le corps mental, qui deviennent des antennes de la conscience humaine, et ce sont ces champs d’énergies-là qui sont en perpétuelle fluctuation et qui permettent à l'être humain de découvrir au fur et à mesure où il évolue sur une planète, l’élément fondamental de sa relation entre les mondes spirituels et le plan matériel donc techniquement connaitre l’histoire de la vie, et son mystère.
Si on dit que pour l’homme, la compréhension fondamentale de son moi commencera lorsqu’il aura appris à traiter avec la souffrance quotidienne, la souffrance instantanée, la souffrance souvent révoltante, lorsqu'il aura appris à traiter avec cette souffrance là d’une manière objective, c’est-à-dire sans crainte.
À partir du moment où l’homme traitera avec la souffrance, révoltante mais sans crainte, l’homme altèrera son taux vibratoire, oubliera dans ses différents champs de conscience, mental, astral, éthérique, ouvrira des nouvelles brèches, entrera dans des nouveaux temps, des temps que lui en tant qu’être incarné ne pourra pas mesurer, c'est-à-dire ne pourra pas réaliser de manière objective parce qu’il est dans la matière, mais des temps qui feront partie de la subtile atmosphère de sa pensée.
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Le problème de l’homme concernant la souffrance, c’est la tendance qu’il a en tant qu’ego, en tant qu’ego. La tendance qu’il a de penser que sa souffrance est révoltante, n’a pas de direction. Une souffrance possède toujours une direction, derrière une souffrance imposée chez un homme, il y a toujours un plan en arrière, il y a toujours un agenda en arrière.
L’agenda souvent est caché à l’homme, mais l’agenda est connu de l’homme sur un autre plan, et ce qui empêche un homme de reconnaitre l’agenda de sa souffrance, c’est-à-dire la raison de sa souffrance, c’est que l’homme a tendance à rationaliser sa vie, c’est à dire, l’homme a tendance à vouloir que sa vie soit à la mesure de son désir égocentrique.
il va venir un jour où vous ne pourrez pas vivre votre vie selon un plan égocentrique. La maladie va vous frapper, Vous aurez une perdrez de job, Vous perdrez votre chum, Vous perdrez de l’argent, ça ne sera pas un plan égocentrique. Quelque part dans la vie tous les hommes de la Terre seront forcés à vivre un plan qui ne fait pas partie de l’agenda égocentrique. Ce n’est pas parce que tu es un initié que tu es à l’abri des évènements révoltants. Tous les hommes vivent des évènements révoltants, mais pas tous les hommes ne savent pas comment traiter avec.
COMMENTAIRES EN LIEN AVEC LE SUJET
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Josée (samedi, 05 octobre 2019 14:12)
quand le passage de l'involution à l'évolution nous déracine de l'empirisme fondé sur de la mémoire toujours irréelle, on commence à explorer l'espace du réel et à devoir renoncer à le rationnaliser en admettant qu'il n'est pas fondé sur de la mémoire subjective.
on se libère toutes les radicelles d'un sol appelé subjectivité qui ne fut pas nourricier mais vampirique.
on se laisse apprivoiser par une nouvelle vie matérielle en fluctuation perpétuelle.
on apprend à baigner dans des champs d'énergie sans chercher à rien en mesurer.
et dans cette aventure on maîtrise la volonté de retomber dans de la vampirisabilité.
on tranche d'avec cette ancienne tendance à servir de martyr de la mémoire.
alors enfin on peut rencontrer la souffrance en s'en révoltant juste très naturellement, c.a.d. vibratoirement, c.a.d. sans la craindre, c.a.d. sans lui dénier sa raison d'être, c.a.d. sans la rationnaliser.
Edwige (mardi, 15 octobre 2019 08:10)
Entrer dans la conscience de l'existence d'un programme animique et mémoriel, où la souffrance dans la subjectivité et l'émotivité est prépondérante, est une étape majeure à la sortie de la matrice terrestre egrégorienne et vampirisante.
Ce faisant on se libère peu à peu des entraves mémorielles de l'âme, mais cette libération est proportionnelle à la souffrance vibratoire de l'arrachement a ses entraves qui étaient des béquilles à notre survie…
Laisser choir ces béquilles c'est comme arracher un sparadrap d'un seul coup … on a pas peur, on ne réfléchit pas, on a plus besoin de béquilles.
josee (vendredi, 25 octobre 2019 18:49)
on a poppé mais au ralenti et ce n'est pas fini.
on a poppé mais avec une mémoire.
on se pensait libre d'agir mais dèes qu'on a poppé, c'était avec de la mémoire et on était un robot assembleur de vécus.
on a roulé notre bosse et bourlingué sur les sept mers mais nos rames étaient traitresses.
on est devenu éborgné, estropié, bossu et éclopé, allant clopin clopant avec nos béquilles : nos valeurs, nos convictions, nos idéaux, mais cette mémoire, loin de supporter nos aisselles et d'aider notre pas, nous entravait.
josée (vendredi, 01 novembre 2019 13:13)
tout ce qui est division finira par être démasqué comme étant psychologique.
vibratoirement tout est engagé dans une chorégraphie qui a pour public chacun de ses danseurs.
le monde des formes est une école offrant des milliards de formations et dé-formations sur mesure.
un ego est associé à une personnalité divisive et un autre ego est aux prises avec une personnalité complaisante : leur contact dans la chorégraphie crée de la souffrance psychologique.
le but est de se libérer de toute cette influence pré établie au prix de la souffrance vibratoire inévitable quand on s'individualise.
l'individualisation passe par l'acceptation de la chorégraphie et du rôle de chacun, le sien compris.
c'est ainsi que le sien s'estompe : en l'encaissant sans faire de vague.
Edwige (samedi, 02 novembre 2019 10:14)
Tant que l'ego sera sous la domination de l'âme il sera prisonnier des liens avec ses expériences émotionnelles polarisées attachées aux expériences dépolarisées de l'âme.
Les divisions sont directement liées à ces polarités, entre les expériences de l'âme et les expériences de l'égo, qui ne sont pas du même registre vibratoire donc inéquitablement vécues.
L'expérience x ou y, de l'un comme de l'autre, présente des facettes à variables tellement multiples qu'on ne peut imaginer la somme d'énergies cumulées dans ces variables… Imaginons ces énergies multipliées par les variables de chaque égo dans un couple ou une famille …
La souffrance a toujours été vibratoire, dans notre inconscience on la comprenait psychologiquement en altérant avec aberration les tenants et les aboutissants de cette souffrance d'évolution.
L'entrée dans un processus fusionnel est une entrée dans une individualisation. On se passe désormais des rôles respectifs, quand bien même ils fussent nécessaires en leur temps et heure, ils sont désormais obsolètes à nous d'accepter cette obsolescente programmée "sans faire de vague"…
josee (lundi, 04 novembre 2019 02:18)
"La souffrance a toujours été vibratoire, dans notre inconscience on la comprenait psychologiquement en altérant avec aberration les tenants et les aboutissants de cette souffrance d'évolution."
passer du psychologique au vibratoire est un dépouillement qui soulage de vieux jeux fatigants. c'est un désabriage d'images qui prend du courage, un déshabillage de notre mémoire et c'est un dévoilement de notre identité si nue en réalité.
"L'entrée dans un processus fusionnel est une entrée dans une individualisation. On se passe désormais des rôles respectifs, quand bien même ils fussent nécessaires en leur temps et heure, ils sont désormais obsolètes à nous d'accepter cette obsolescente programmée "sans faire de vague"…" tant que l'ego est inconscient, tant qu'il est tout emberlificoté de mémoire, il manque du recul nécessaire pour réaliser sa programmation, sa fonction multifacette, son rôle ou son rôle familial, pour prendre un exemple.
mais il s'agit d'une programmation comprenant son éventuelle obsolescence, coïncidant avec quand l'identité réelle reprend ses droits. et dans la disparition du rôle, il y a une exposition du rôle à la conscience en éruption. le rôle s'estompe alors que grandit la puissance de lucidité et les deux se croisent. et si l'ego rouspète, les deux se recroisent. c'est l'agrandissement graduel de cette puissance de lucidité qui fait disparaître le rôle avec le fond du théâtre, les spectateurs et les foutus rideaux qui coupent la psyché en deux.
Edwige (lundi, 04 novembre 2019 11:16)
Passer au vibratoire nous soulage de réflexivités et de pensées subjectives… Vider le sac a mémoires, le retourner pour qu'il n'en reste plus de poussière, ça nous rend si léger qu'en effet on se retrouve à poil dans la nature…
Et là tout nu, sans pour autant se sentir vulnérabilisé par sa nudité, il voit très loin dans l'occulte de sa vie, dans l'occulte de ce qui l'entoure, dans l'occulte de ce qui jadis l'avait divisé et manipulé au travers de ses souffrances psychologiques très subjectives.
josee (lundi, 04 novembre 2019 12:48)
perdre le costume, c'est vertigineux et exaltant comme l'ivresse des sommets avec la vastitude du vide et l'impression d'en faire partie, du vide.
il y a toute une fourchette de niveaux de facilité à perdre le costume, correspondant à autant de niveaux de difficulté à résister à l'appel de l'occulte astral qui nous enrobe et englobe si "naturellement".
Edwige (mardi, 05 novembre 2019 03:48)
Devant un océan qui appelle à plonger dedans, rien de plus facile que d'y pénétrer… Enlever son maillot, se retrouver nu, libre de tous mouvements, ça aussi est enivrant… Également impressionnant de sentir l'eau s'infiltrer partout à la surface de la peau, là où il n'existe aucune souffrance psychologique a visiter l'occulte de l'éther sous-marin.
josee (mardi, 05 novembre 2019 19:45)
nous commençons à savoir que nous nous nous rapprochons de l'océan de l'éther oû plongera notre personne.
c'est avec cette certitude croissante qu'on traverse l'effeuillage de nos vêtements d'habitude.
dans la certitude il y a la mise en relief d'une décision de jouir au plus haut point.
la liberté devient le droit pour lequel on lutte.
la liberté à laquelle on goûte épisodiquement nous donne un avant goût de l'éther qu'on ne comprend pas mémoriellement.
on comprend la liberté mémoriellement
Edwige (jeudi, 07 novembre 2019 00:39)
Lutter pour la liberté revient à lutter pour sortir de prison... idéalement on devrait sortir de l'illusion d'être prisonnier car on ne souffre que de soi-même par nos mémoires et notre programmation.
Josée (jeudi, 07 novembre 2019 17:49)
elle est là la liberté, elle est chez chacun quel que soit son niveau de conscience. la conscience change tout. tu es conscient de te sentir en prison dans tes valeurs, par exemples, la valeur d'économiser, la valeur d'être productif, la valeur de donner des conseils, etc., et le simple fait d'accéder à la conscience de te sentir en prison dans un valeur fera se craqueler la gaine sous le rayon laser de la puissance de l'ego qui se déchaîne à l'appel de la liberté.
Edwige (dimanche, 10 novembre 2019 08:33)
Se libérer de l'illusion d'être prisonnier, qui ne fait souffrir que de soi-même, par la conscientisation de l'ego qui l'amène à démolir tous ses conditionnements au prix de grandes souffrances et videngeages astraux. Toute libération a le prix de ces souffrances.
josée (dimanche, 10 novembre 2019 14:55)
on développe le réflexe intelligent d'associer toute nouvelle souffrance à un vidangeage garant d'amincir notre gaine de conditionnements.
mais ce n'est pas un travail à la chaîne. car il y a toujours quelque chose dans chaque nouvelle souffrance qui fait que l'épreuve nous prend au dépourvu et qu'il faut fouiller créativement le plan mental pour se libérer.
josee (mardi, 12 novembre 2019 03:46)
beaucoup de réflexes s'installent qui sont de l'ordre théorique, mémoriel.
à un moment donné, ils n'agissent plus, évacués par l'intensité de la relation consentante avec l'esprit.
tout est posé, tombé, parce que tout simplement on connaît le travail de l'esprit, alors on le laisse faire sa petite friture de souffrance psychologique en se bouchant les oreilles, comme on fait avec un compagnon.
Edwige (mercredi, 13 novembre 2019 06:38)
Les nouvelles mémoires que l'on crée, avec les souffrances du quotidien, sont enpêchées à fabriquer du karma si on utilise l'intelligence du videngeage "conscient"
Dans le processus de conscientisation, et de fusion très lente, chaque nouvelle souffrance si elle n'est pas perçue comme "vibratoire" mais vécues comme psychologique demandera une transmutation de l'énergie associée à cette souffrance au risque de créer d'autres mémoires qui retardent le processus… Derrière tout cela il n'y a que des tests qui nous servent de miroir pour voir de nos propres yeux où nous en sommes, c'est cette "relation consentante avec le travail de l'esprit". On avale la pilule "comme on le fait avec son compagnon", même si ajustements et montées de voix sont nécessaires avec des sacres ou des ogives supramentales correctement ciblées vers les entités qui nous interfèrent
Josée (dimanche, 17 novembre 2019 19:21)
l'esprit est une grosse énergie qui érode les saillies intérieures du canal sans les nommer, comme firent les glaciers ici il y a 10.000 ans avec les différentes montagnes. nous on est l'ego qui se fait travailler toutes ces formes hétéroclites, nous on cherche chaque fois une solution, un moyen de survivre à la souffrance du burinage du jour. et on les aime et on les nomme, ces solutions, quand elles aident, pour les avoir à portée d'intellect la prochaine fois qu'on en aura besoin. et c'est vrai que ce procédé s'avère utile. on s'en sert. il sert. on sort l'outil au besoin. mais ho que se passe-t-il, l'outil est-il en panne ? ou est-ce ma volonté ? ou est-ce ma créativité ? ou est-ce mon discernement ? ou est-ce mon intuition ? ou est-ce m
Josée (dimanche, 09 février 2020)
la souffrance est de prime abord vibratoire car elle résulte d'une confrontation entre le haut et le bas qui sont deux mondes d'énergie. mais elle devient psychologique dans la mesure où le bas ne dégage pas sa puissance. quand aucune puissance du bas ne répond à la programmation du haut, le bas est réduit à un champ magnétique, un égrégore de petites forces associatives, qui va s'activer à percoler et pécorer sur la programmation. il n'y a rien là dedans qui nous profite à moins que ça ne réveille notre puissance et ne fasse de cet égrégore un tremplin psychologiquement libérateur.
… ce qui ne met pas nécessairement fin à la souffrance vibratoire sous jacente !