BDM: "Le respect est une mesure de l’esprit et tout esprit qui sait respecter l’autre est dans une plus grande mesure réel, c’est-à-dire libre de la personnalité. Le respect est essentiellement une mesure de l’équilibre d’une personnalité. Plus il y a d’équilibre dans une personnalité, plus il est facile à l’être d’être respectueux vis-à-vis de l’autre. Dès que la personnalité est déséquilibrée, même si l’être se conscientise, même s’il prend conscience de lui-même, un certain temps sera requis pour qu’il puisse être suffisamment dans son esprit, son intelligence, pour que sa personnalité ne fasse pas interférence avec le respect qui est dû à l’homme."
Le respect des autres passe d'abord par le respect de soi. Quand on reconnait l'importance de se respecter soi-même en se faisant respecter d'autrui, on a les clefs en mains pour comprendre pourquoi l'esprit de l'autre est respectable. Hormis sa personnalité si celle-ci est toxique et/ou dominante, quand bien même cette toxicité et/ou domination seraient des facteurs évolutifs pour l'un et/ou l'autre.
La personne qui présente ce déséquilibre est en expérience autant pour elle que pour les personnes qui auront à évoluer
dans son sillon... En effet, comme un miroir, la situation présente une part de soi qui à atteint le seuil de son expérience et demande à être digérée…
Il est une nuance de taille qui touche à la tolérance et au seuil de tolérance entre l'incompatibilité, l'antipathie ou la toxicité séparément ou cumulés… le respect de soi implique de discerner
ce seuil et d'engager sa volonté, tout en respectant ce qu'est l'autre, pour ne plus se faire vampiriser.
Nous sommes des êtres énergétiques et nos relations interpersonnelles sont essentiellement énergétiques. Lorsque la relation ou l'échange n'est pas équitable se respecter c'est ce n'est pas
prendre la poudre d'escampette mais dire et accepter qu'on ne veut pas de cela dans notre vie…
Il n'y a pas de respect de soi par la force, l'auto-violence, la persuasion ou les projections de soi sur autrui, le respect de soi coule de source quand il est intégré et ancré en soi et se
manifeste dans une volonté inébranlable de plus se faire dominer ni dominer l'autre en l'assujettissant à soi.
L’énergie activée par la communication peut être ressentie comme du bien être, du plaisir, de la joie réciproque quand l'échange est énergétiquement équitable... c’est un partage qui peut élever le taux vibratoire, voire rendre euphorique quand la relation est mutuellement respectueuse de l’autre, a l’inverse elle fait chuter ce taux quand il n’y a pas de respect du territoire de l’autre.
Josée y' aurait-il une voix raisonnable pour nous faire distinguer quand une relation est incompatible, antipathique,
ou toxique? Oui! Le discernement fait appel a ce ressenti parfois très subtil qui nous indique, par des facteurs biochimiques, que nous sommes en présence d'une énergie qui ne nous convient pas.
Ce peut être passager comme dans une incompatibilité ou une divergence d'opinion, ou lors d'une rencontre antipathique liée à une personnalité dérangeante, ou durable lors d'une relation toxique,
donc non respectueuse, avec un ego vampirique...
Les attitudes polarisées Amour/Haine de l'autre ou de soi sont parfois des indices de failles qui nous font projeter sur l'autre des sentiments incompris lorsque nos limites entre respect de
soi/respect de l'autre sont confuses. La détermination a progresser dans le respect de soi "s'embraye" lorsqu'on arrive a un écoeurement morbide d'être mal dans sa peau à force de fréquenter des
personnes incompatibles, antipathiques ou toxiques, l'inverse vaut pour autrui...
Le discernement ne questionne pas il évalue finement... il agit spontanément avec ses ressentis, souvent au plus près de l'intelligence de son esprit. Quand l'ego n'y appose pas sa signature il y a respect de soi et de l'autre, c'est toute la simplicité du discernement...
Le discernement aide a ajuster ses comportements face aux attitudes de l'autre sans mode d'emploi. L'ego n'est pas en quête de médaille à chaque confrontation, il est capable de plier bagages tel un roseau devant la rigidité du chêne, il se respecte lui en respectant ce qu'est l'autre.
Absolument en accord avec cette observation, j’eusse aimé la faire descendre moi même...
La tentative d'élaborer un mode d'emploi sur "comment faire pour être dans le respect de l'autre" s'apparenterait à écrire un livre dans la série pour "les nuls", "respect de l'autre pour les nuls. On n'est pas nul si notre façon de respecter l'autre correspond à notre façon de se respecter soi... C'est peut être le début de réalisation que le périsprit était un frein au respect de l'autre et de soi car les voiles en questions furent trop épais durant l'involution?
Oui et se respecter c'est également prendre soin de soi dans tous les plans de sa vie sans jamais permettre empiètement et ingérence extérieure et/ou d'autrui.
Respecter l'autre c'est aussi le savoir imparfait, rempli de failles astrales et de paradoxes car "cheminer" avec lui nous rend intelligents tous les deux.
La dépolarisation dans toutes les sphères de nos vies semble être le but principal de l'entrée dans cette 4ème dimension qui est le plan Supra-Mental. Je commence à douter que l'esprit veuille fusionner avec un ego qui réussi, envers et contre tout, d'habiter ce plan et de garder ses attributs… Il semblerait que ça existe et cela confirme que l'ego dans la matière peut être plus puissant que l'esprit dans les éthers et que tout a sa place pour aiguiser notre discernement. Je ne crois pas non plus qu'aimer son prochain soit le but ultime dans cette dimension tant que l'ego, dans ses désirs obsessionnels d'évoluer et d'avoir pignon sur rue, prône à coup de citations flatteuses et trompeuses ce que devrait être l'Amour réel… Pour ma part il n'y a pas d'Amour Réel tant qu'il y a de la mémoire et de l'ego dans l'homme... De surcroit pourquoi chercher l'Amour Réel, alors que nous avons du mal a respecter et a aimer ce que nous sommes dans toutes ces astralisations qui nous rendent imparfaits...
En te lisant ceci m'est venu qui a débouché sur un article "Contrôler l'ascenseur émotionnel" que j'ai spécialement
conçu à ton attention... en attendant un autre sur la culpabilité...
Si nous savions que nous sommes sans défaut et sans qualité nous serions libre de la polarité, sans polarité nous serions libérés du plan astral et de ses parasites! Si l'humain était réellement
conscient, v/s libre des parasites et des engrammes, il ne souffrirait plus. Ça ne veut pas dire qu'il serait heureux, ne pas souffrir c'est être bien dans sa peau et être bien dans sa peau c'est
ne pas être prisonnier de sa souffrance. Si l'humain était conscient du double mental, il pourrait faire une gestion intelligente de sa souffrance afin de ne pas perpétuer dans sa conscience le
mal de sa mémoire, il aurait toujours le même problème mais il ne le vivrait pas de la même façon.
Un être humain qui devient conscient de la créativité de son double à 100% sait utiliser l'énergie du ''bagage'' mémoriel sans besoin de contester quoi que ce soit, l'âme n'étant plus que la réserve d'énergie qui a servie à sa fusion avec l'ego, l'esprit et les 3 cerveaux matériels
Bernard qui "rebondit", avant de s'éteindre, pour dire qu'il "comprenait que le double avait toujours raison"… Si ce message est absent de 95% de son œuvre et qu'il ressurgit avec le poids de ses dernières paroles alors là chapeau bas l'artiste!!!… C'est la meilleure révérence qu'on peut lui faire, d'autant que pour ma part je considère que Bernard n'a jamais été aussi vivant que mort… Ce n'est pas une métaphore… ça démontre que le respect de soi inclue avoir de la patience avec l'esprit qui nous fait évoluer. En devenant conscient de la créativité de la lumière de l'énergie de notre diamantaire on apprend à notre double à utiliser l'énergie du ''bagage mémoriel" sans désir de le contester. Même l'âme ne cherche plus d'expérience, ni à dominer l'ego, elle se respecte aussi dans sa fusion avec lui, avec l'esprit et les cerveaux matériels et éthérique.
Qui est ce Jean-Paul Boucher? Serait-ce Bernard Boucher alias de Montréal?
Je suis ok que respect de l'autre ne fait pas bon ménage avec l'amour spirituel pour cet autre. C'est encore de l'astralisation de la conscience qui fait barrage à la maturation d'un égo
distancié entre le "message" et le "messager". A écouter ton expérience, entre les lignes, ça confirme mon ressentie d'avoir eu la chance de pas connaître cet instructeur au risque de tomber dans
les mêmes pièges involutifs de ces années, pas si lointaines que cela.
Ce qui reste de lui me permet d'avancer qu'on n'aime pas Bernard et qu'on ne l'écoute pas non plus, on vibre à l'instruction qu'il a descendu sur terre… ensuite on l'étudie objectivement, c'est
ce que nous tentons de faire ici dans Focus. À la limite cette instruction ne lui a jamais appartenue, aujourd'hui elle est à disposition de tous et chacun en fera ou non sa propre affaire.
La pensée nous fait croire que nous sommes plombés et immuables, alors que dans notre intimité nous bougeons à chaque nanoseconde, avant d'ouvrir la porte aux visiteurs dont le sac à dos est
chargé de mémoires qui ne nous appartiennent pas… Bernard, visiteur comme nous sur terre, avait aussi ses mémoires...