Seuil de Tolérance où placer le curseur?
Edwige
Quand il y a un effet boule de neige sur une nouvelle organisation physique, psychique, chimique et biologique en nous, cela crée moult désordres internes et externes aussi dérangeants les uns que les autres : fatigues intenses, détachements, incommunicabilité, besoin intense de silence, d’isolement, d’intériorisation…et... d'aversions diverses... ce sont "les interférences "
Quand s’estompent en nous croyances, illusions, conditionnements et autres béquilles qui nous maintenaient en survie… surgit "Le réel en soi" quel qu’en soit le prix...
Après l’exercice périlleux d’affirmation de soi et de son autorité propre dans le plus ardu des domaines : entourage proche, mari, conjoint, enfants, afin qu’ils cessent d'empiéter sur vos plates-bandes et n’usent plus de divers petits et gros chantages émotionnant… on devient apte à s’attaquer à plus gros poissons : "Les pensées"
Un bon moyen d’économiser son capital énergie : briser coûte que coûte « ce miroir déformant et cette famille illusoire » de personnages qui se reflètent dedans et dans tous nos recoins cellulaires, génétiques, généalogiques... Ceci afin d’éliminer toutes les entraves karmiques involutives dans notre vie actuelle.
Ça prend de l’insomnie, des suées nocturnes et diurnes, des bâillements intempestifs, des sautes d’humeurs… en prendre conscience dans "l’instant présent" est très thérapeutique et évolutif…
Ces désagréments peuvent être vécus "assez confortablement" s’ils sont soutenus par une hygiène de vie "élevante"… boire en abondance de l’eau "vivante" (de source ou purifiée), alimentation non industrielle, végétale et biologique, diverses activités physiques et créatrices, soins énergétiques sur les corps subtils, évitement des relations énergivores…etc.
Dans ce processus de conscientisation de sa propose astralité, où l’on mesure l’énergie à fournir pour s’en affranchir, le seuil de tolérance est rapidement atteint lorsque confronté à l’astralité d'autrui qui nous astralise par son inconscience, la solitude arrive comme un signe de capitulation à l’entrée dans le réel en soi. On est arrivé à un seuil de tolérance zéro contre l’involution d’autrui, véritable tests et oppositions sur le chemin de sa propre évolution… sans possibilité de retour en arrière, loin d’être une sinécure…
L'ego, par l'effet du nettoyage de la lumière de l'énergie de l'esprit sur lui, gravit progressivement les barreaux de
l'échelle du discernement. La désastralisation de ses corps subtils exacerbe sa sensibilité vibratoire car les voiles ténus de cette sensibilité s'affinent à chaque tests, évènements et
oppositions en tous genres. Peu à peu l'ego se retrouve nu et transparent devant autrui vêtu de leur astralité épaisse.
C'est cette nudité qui à une possible "astralisation" sur lui lors des tests... Mais ce dont il peut s'insurger c'est plus de l'effet de surprise des tests, alors qu'il avait baissé la garde, que
des menaces sur lui lors de ces tests eux-mêmes.
L'égo ne s'insurge pas car, bien que sous l'effet de l'inattendu de la surprise, il va discerner ce qui vient du test pour lui et de l'astralité de l'autre. En agissant ou "réagissant" en
adéquation avec son intelligence éthérique il va repérer dans son corps émotionnel ce qui est de la projection de l'autre et ce qui ne lui appartient pas… Tant pis si cet autre se retrouve dos au
mur par le choc, c'est un pas de plus pour lui pour se remettre en question.
L'idée qu'aucune pensée, ni personne n'est toxique est intéressante en soi, cela sous-entend que dans un monde
spirituel tout est bisounours et qu'on s'embrasse tous a chaque instant… Sauf que le propre des tests, qu'ils soient véhiculées par des
pensées rebutantes ou des personnes vampiriques, donc toxiques, sont justement de mettre l'ego dans un tel inconfort psychique qu'il est obligé, arrivé à son seuil de tolérance, soit d'élever son
curseur pour tolérer davantage, soit dire basta je me respecte en disant stop à l'empoisonnement… Là il y a action consciente de se respecter ou de continuer de ne pas se faire respecter…
Les attitudes de vieux réflexes mémoriel de l’ego vont dans les deux sens, c'est à chacun de couper court à ces vieux réflexes en imposant une relation équitable et respectueuse.
La certitude ou le doute d'être en processus de conscientisation des réflexes mémoriels n'empêche pas l'ego de ne plus supporter l'inconfort des toxicités qui le frappe tous azimuts.
A cela, par volonté, il doit réagir quand il a atteint les limites de ses zones d'inconforts, à cela s'intègre progressivement la mémoire.
Nous avons parfois une tendance masochiste à se pourrir soi-même la vie de façon inconsciente et dans l'involution cela sert les plans de bien des manières… Mais lorsqu'arrive le moindre signe de
conscientisation c'est un des premiers réflexe naturel; abolir une à une toutes choses ou personnes qui empoisonnent cette vie car on ne se sent plus obligé de subir... et ne subissant plus on se
détache de plus en plus… on ne diabolise ni ne juge plus non plus ce qui a servi à nous sortir de notre chrysalide, en gros on ne met pas au rebut de bons outils de travail sur soi… Ils
deviennent moins toxiques au fur et à mesure que soi-même on n'est plus une éponge aux émotions mal gérées des autres
La gestion des circonvolutions dans notre parcours individuel, jusqu'au sommet de la conscience, prend des outils
personnels à chacun…
Pour ma part je n'ai que chaussures et bâtons de marche, le reste dans le sac à dos pour parer à la météo du ciel et du mental subjectif… tous deux toujours plein d'inattendus multiplicateurs de
difficultés ou au contraire de facilités pour marcher… Ils aident ma conscience à agir sur les conséquences de mes comportements, tant à la montée qu'a la descente… La leçon que j'en tire au
quotidien c'est savoir bien vivre l'instant présent dans une concentration absolue de là où je mets les pieds…
Comme dit précédemment la gestion des circonvolutions dans notre parcours individuel, jusqu'au sommet de la conscience,
prend des outils personnels à chacun… ils dépendent de notre mental subjectif toujours plein d'inattendus multiplicateurs de difficultés à vivre cette criss de paix.
En ce qui me concerne c'est en montagne sur les sentiers, sans quête du but, que j'habite le mieux une conscience et un jumeau qui ne demandent qu'à évoluer dans mes progressions continues.
La leçon à tirer au quotidien c'est de savoir bien vivre l'instant présent dans une concentration et une flottaison à la fois compatibles et absolues afin que l'ego ne soit pas obligé d'ajuster
perpétuellement son seuil de tolérance.
C'est là une action consciente de se respecter et de réagir quand les limites de zones d'inconforts sont atteintes. On garde tout près son meilleur outils de travail qui est "le détachement", ou
la séparation, de toutes choses ou personnes qui empoisonnent la vie, qui fait cesser d'être une éponge à des émotions qui ne nous appartiennent pas.
Vouloir être une bonne personne tient d'une polarité qui nous fait croire que nous sommes une mauvaise personne si on
ne répond pas à toutes les demandes et sollicitations, même lorsqu'elles ne respectent pas notre individualité. Notre curseur de tolérance se règle avec ce non respect du besoin de retour à notre
moi supérieur.
Individualité n'est pas synonyme d'égocentricité, c'est encore une croyance erronée due à nos conditionnements à la générosité crasse spirituelle… Plus on s'enfonce dans le processus plus on
devient individualisé, l'égocentrisme passe par le retour à soi et non à l'exclusion totale des autres.
Le champ relationnel se rétrécie par la force des choses, choses qui demandent de grandes plages de solitude pour ne
pas se faire "disperser", pour rester "centré" dans le focus de sa relation avec son double…
Autrui revient plus tard et doucement dans les parages, mais ce sont des autrui bien ciblés, qui ne font pas interférences avec la nouvelle vibration de ses corps subtils, son aura est vaccinée
contre l'intrusion tous azimut de tous virus involutif…
Ce qui a été vécu dans une relation karmique, peut important le deuil de tolérance qui a amené a la rupture, nous a
amené à nous acheminer vers d'autres relations, karstiques également, complétant ou fignolant ce qui a bien ou mal germé dans notre conscience.
Nos souffrances dans ces relations sont le résultat d'expériences programmées… La seule faute, s'il faut qu'il y en ait eu, est de croire que nous sommes seuls responsables de la rupture d'une
relation… l'autre est aussi acteur et partie prenante de cette rupture programmée en lui, mais on ne compte pas les points comme dans une partie de pétanque…
A force d'avoir été conditionnés au dévouement à autrui, nous n'avons même jamais su que nous
existions.
Deux programmations aveugles de la programmation de l'autre qui ont concourus à tous les abus et manquements au respect de soi et de l'autre. Qui ont concourus à tous les comblements de manques
sans jamais être rassasiés.
Donner à l'autre la preuve que nous existons c'est se révéler devant ses yeux, lui comme nous ne s'était jamais vu et il en fera autant.
Que la scène qui lève le voile sur cette existence soit mélo ou dramato, l'important est que le videngeage qui en résulte soit accompli froidement sans se juger car là était la vibration du
moment. La chaine est brisée, là arrive la paix…
Dans les couches et sous couches de nos mentations sont logés profondément des miasmes spirituels qui nous imposent
d'étouffer notre intolérance et d'accepter ce qui et là au nom de la nécessité, au nom de la tolérance, au nom du fatalisme …
On peut respecter l'esprit de l'autre on n'est pas obligé d'aimer son ego…
Il n'y a aucun principe d'amour quand on ne tolère pas l'ego de l'autre tel qu'il est…
C'est de la racine de l'intolérance que l'on peut avant tout briser l'orgueil et le narcissisme de notre ego avant celui de l'autre…
L'amour est d'abord astral, il devient cosmique en son temps une fois débarrassé de toute l'astralité en soi…un énorme chantier…le plus grand de tous!
L'amour ce n'est pas le cœur (encore une illusion spirituelle) … Le cœur n'est qu'un organe qui pulse a 80 battements
par minutes pour faire fonctionner notre cerveau…
Pour arriver au stade du principe de l'Amour il ne doit plus rester aucune trace de haine vis-à-vis de nos congénères "vivants"... ça n'a rien de commun avec la phrase spirituelle "Aimer son
prochain" dans laquelle il n'y a aucune conscience de ce qu'est le vampirisme du subconscient humain par des entités astrales. Aimer les egos "vivants", objectivement et mentalement ce n'est pas
aimer les parasites astraux qui les chevauchent, ils n'en ont pas conscience, comme tout en chacun avant d'en avoir pris conscience…
Il n'y a aucun ego identique, nous avons tous été inféodés(e)s aux plus narcissiques et pervers d'entre-deux si ce fut notre programmation et notre karma… Les aimer, aimer ces humains et leur
créativité ça signifie respecter le stade où ils en sont, sans bouleverser le chantier de leur programmation… On n'est pas obligés de vivre avec eux et de les aider… on doit au contraire les
gommer de notre listing… "loin des yeux, loin du cœur"… c'est le processus de notre déspiritualisation, stade qui n'est pas à juger, refuser cette réalité empêche de brûler du karma…
Bernard a préconisé la haine des vampires énergétiques du "monde de la mort", pas la haine du monde "vivant". Les vivants sont habités par des mémoires qui ne sont pas nettoyées et que le plan
astral utilise pour les rendre confus et nous confusionner par la même occasion...
Ces lignes parlent de nos histoires a tous, particulièrement celle des femmes…
Comment dans notre inconscience ne pouvions-nous pas haïr nos abuseurs et nous haïr nous-même par cette occasion ? Cette haine fut nécessaire, elle était notre école d'entrainement à la haine et
à la colère contre des forces occultes mortifères.
Commencer à décider de s'aimer vient quand la lumière fait jour sur les expériences, les chocs à l'âme, les chocs a l'ego etc…
La compréhension des tenants et des aboutissants de ces souffrances psychologiques nous ont finalement menées vers l'instruction vibratoire de Bernard. Cette compréhension vibratoire à balayé la
mémoire des évènements pour n'en conserver que la réalisation que le programme choisit dans notre plan de vie s'est déroulé parfaitement, pour en arriver où nous en sommes, droits dans nos
bottes… La conscience en bonus.
Il semblerait que la planète terre est unique dans son genre car elle serait la seule à expérimenter l'émotion, dans
son programme, avec un corps émotionnel relié aux expériences de l'âme et aux expériences de l'ego qui forge son caractère et son tempérament… C'est ce qui rend chaque humain unique et différent
même s'il n'a pas beaucoup de tolérance pour les changements qui le perturbe.
L'émotion est porteuse d'une énergie atomique colossale mais polarisée.
L'expériences de toute la gamme des émotions nous permettra de n'en conserver que l'énergie dépolarisée, transmutée en volonté supérieure qui fera de nous de véritables créateurs; c’est-à-dire
dans la volonté de matérialiser ses pensées, ses besoins par la pensée principalement, y compris de se déplacer, de se téléreporter.