Spirituellement évolué... mais pas Intelligent
A la fine plume intelligente de ce que disait une amie : "L'astralité n'est pas de l'homme, à l'homme, en l'homme. C'est un milieu ambiant sous lequel il est sous tutelle et qui lui tient lieu de personnage à jouer dans notre théâtre de tous les jours. C'est vrai pour notre propre astralité qu'il faut se forcer à regarder comme n'étant pas de nos affaires, c'est vrai pour celle de l'autre. Si celle de l'autre nous domine, c'est parce qu'on s'identifie à notre propre astralité encore constituée de dominabilité".
Cette remarque absolument pertinente permet d'observer cette "dominabilité en soi", surtout quand elle s'exerce à nos dépends et qu'elle nous rend plus "réactifs" dans nos conscientisations.
Dans le miroir que nous tend l'autre, si on n'y voit qu'abomination mais qu'elle disparaît en même temps que cet objet et qu'on recouvre très vite fatigue et perte d'énergie, on peut réfléchir à des concomitances dans la réalisation de notre naïveté, plus qu'à la véracité des illusions créées par ce miroir tendu par l'autre, en réplique au soulagement inconscient de la pression interne de sa propre conscience…
"Le cherchant" à un état d’esprit sans promotion de lui-même, ni de complaisance pour autrui, il ne gobe pas le discours général et/ou sa première impression, il cherche de la complémentarité sans rivalités car sa curiosité naturelle n’est pas celle des investigateurs patentés ou publiés. La psychologie dite "évolutionnaire", ou science au-delà du mental, ne peut être comprise sur des fondements intellectuels ou universitaires, elle peut seulement vibrer, raisonner, s'intégrer à partir de l'expérience personnelle, de la volonté et de l'intelligence de l'esprit. Ce nouveau regard, cette nouvelle approche psychologique nous aide à nettoyer notre filtre egoïque en décortiquant sans ménagement et au scalpel les vieux conditionnements psychiques, émotionnels, comportementaux, mémoriels… incrustés en nous depuis la nuit des temps... Mais la recherche occulte est enfermée dans un ensemble de représentations, de discours, de règles, de tabous, de rivalités. La course à la publication, à la notoriété, qui nuit à la qualité et à la profondeur de cette recherche, rend un certain "savoir" trop ésotérique aux yeux du public. C'est par nos discernements, qui font tâche d'huile sur le lit de nos doutes, que les voiles tombent. Ils agissent efficacement sur notre chemin de conscientisation et les ruptures sont souveraines… Surtout dans une relation qui révèle de la perversité évidente à notre égard mais aussi très occultée dans l'invisible…. C'est quand on arrive à l'écœurement de sa lucidité que la décision de rompre ces relations devient un acte ordonné et respectueux pour soi et l'autre soi, afin de ne pas renvoyer notre intelligence aux calendes grecques.
Je retiens quelques mots clefs dans ton message pour souligner le fait que travailler, torture en latin, revient aussi à une expression populaire "aller au chagrin, au turbin…etc."
"plus que cherchante, je me vois travaillante, mon temps est surtout alloué au travail, celui de désastralisation du test activé"... "cette activité est jouissive, elle m'exprime et m'aide à devenir plus définie"... "que le test mène à un chaos temporaire riche d'une leçon"...
Il existe une association entre travailler et viser un but qui nécessite de surmonter des résistances. Dans ton message cette connotation de résistance, de mouvement en tension, toutes ces choses qui ont à voir avec la peine, la difficulté, la lutte qu'il faut prendre pour atteindre un but, résume bien la pénibilité du "travail d'accouchement de soi" par le cherchant.
Dans ta conclusion: "après le travail fertile revient la pause polluante car dans l'extase de sortir de l'horreur du test"... On pourrait supputer que le travail "c'est l'amour rendu visible"! Il nous exprime et nous définit par l'échange sans charge émotive. A l'inverse des monologues, genre questions/réponses, pour des egos qui se veulent "intelligents tout seuls" et se construisent égocentriquement au dépend de celui qui est en quête de réponses sans "travailler" ou "chercher".
Car sans échanges d'idées, comme nous le faisons dans ces focus en "cherchant et travaillant", quelqu'un qui gobe des réponses toutes faites par celui qui "parle du haut de son estrade", reste vissé à son plancher, s'enfonce dans des croyances, des conditionnements, de l'endoctrinement et de la dévotion. C'est ce dernier qui a tout loisir de visionner le film de sa vie qu'il se racontera toujours dans son inconscience...
En effet c'est dans ce sens que la "résistance astrale" est déployée pour nous contrer et nous la faire surmonter à la fois. Nous savons maintenant qu'aucun ego ne détient de manuel d'aucune instruction car IL N'EXISTE AUCUN MANUEL hormis celui qui réside en nous-même. L'instruction première de Bernard n'est pas un manuel, c'est une caverne d'Ali Baba remplie de trésors pour nos egos mais qui doivent être triés, discernés, décortiqués avec les outils que sont nos expériences personnelles. C'est en quoi on peut dire que l'instruction de Bernard "vibre" quand elle fait écho en nous; ce qui est loin d'être le cas avec certains "enseignants officiels" qui ont un cou de girafe vertical... sans les anneaux dorés (trouvés dans la caverne) qui ornent ces cous de femmes birmanes, africaine ou autres tribus...
Tu mentionnes "un port de tête horizontal" comme meilleur engin pour briser l'hyper résistance de notre astralité". Je suis de ton avis qu'elle a sa place dans nos vie parce que toute rencontre est utile, quel que soit le sens visible ou pas à nos yeux souvent aveugles… Cependant je ne crois pas que le rapport de force, tel que tu le souligne, soit notre meilleur outil de combat… Cet outil, à la longue, fait perdre de l'énergie quand sous couvert de "rapport de force" on se trompe de destinataire avec cette force… Et "à force" d'expériences il me semble que plus une force est "tranquille", sans aucun "rapport", plus elle est pertinente en économie d'énergie psychique et en taux vibratoire interne… C'est peut-être ce que certains appellent le "détachement" sans pour autant se dé-socialiser… Ben oui c'est dans ce social qu'on trouve le discours astral sur LES CHOSES et LES GENS… Même si on fuit de plus en plus leur astralité, le contact avec leur invisible et le nôtre est riche d'enseignements. Personne ne maîtrise ces scénarios justement mis scène pour nous aider à voir et surmonter les résistances (astrales et personnelles) et renforcer notre résilience.
Le : ”On peut pas être intelligent tout seul”, est toujours d’actualité entre nous car nos doubles et/ou esprits s’accordent et s’entendent bien sans passer par l’ego… Je vois comment nos idées s'alignent malgré de "l'alambiquement" de ton côté (pas toujours, parfois seulement) … ça me demande, au contraire, de te lire et relire comme une étude de texte pour te répondre sans être "hors sujet". Dans tous les cas je constate que, dans nos accords, nous comprenons ce qui nous amène toujours un peu plus loin quand on est mis en contact avec les gens et ce qu'ils trimballent dans leur sillage…Cela ne fait pas de nous des experts dans la maîtrise du scénario de ses mises en contacts, même en "décortiquant" au scalpel ce chemin évolutif…Tu n'as donc pas d'inquiétude à te faire, mais en cela j'ai l'impression que cette inquiétude est récurrente et n'a rien à voir avec ma réaction… cependant tu me donne également envie d’étudier les dynamiques en jeu dans une relation... Tes observations pointues et très élaborées me renvoient à une réponse faite a un message de toi (dans Intuition et discernement), elle me semble synchrone et complémentaire avec ce que tu viens de développer, alors même que je n'avais pas encore lu ce post…
En résumé " l'autorité, la paix, la volonté, l'émancipation, la Conscience des manipulations tous azimuts, les Combats, rapports de forces etc… résultent de toutes ces révolutions actuelles dans nos vies. Au final l'objectif est de toucher en nous ce "petit point" qui est "l'état d'esprit" dont parle Bernard. État d'esprit qui se loge à l'intérieur de la croisée du triangle "cerveau rationnel, cerveau intuitif et cerveau éthérique", fameuse rencontre de l'énergie de ces trois niveaux d'intelligences qui n'a rien à voir avec la polarité du vrai et du faux, ni de l'intuition et de l'intellect. Ces révolutions font tomber nos illusions pour renforcer notre discernement et nous faire comprendre qu'il existe des clés dans la "force tranquille" pour l'évolution future de nos egos, qui en se dés-astralisant ne devraient plus avoir à se valoriser, à travers ou aux dépends des autres, pour trouver l'Amour au fond de lui. Les leçons de choses pour augmenter notre discernement... toujours et encore plus... ne s'arrêtent jamais... alors attendons gentiment, épée à la main, le prochain coup
Les fissures et les déchirures dans le bateau de la vie apparaissent bien avant que le bateau coule … Nos ressentis ne nous empêche pas d’acheter le ticket d’entrée en cabine… c’est ce qu’on appelle "payer pour apprendre"… Notre Conscience est donc bien assise sur les fauteuils de l'intelligente pour l'éveil de l'ego au-delà du mental. Son processus de fusion nécessite un temps d'instruction, de décodage, de décorticage, de compréhension, pour intégrer la lumière de son esprit. Celle-ci en pénétrant l'ego, souvent violemment et en force, crée un désordre puis un nouvel ordre dans tous ses corps physiques et psychiques.
La mémoire négative fait le lit de nos impuissances au quotidien. Émotions /énergies sont les tandems liées à la prédation astrale dans nos réservoirs mémoriels. En démantelant l’écheveau étriqué de nos conditionnements on fait croitre la volonté pour encaisser les basculements des croyances erronées. C’est une opportunité pour entreprendre le nettoyage de ces mémoires obsolètes afin de détruire nos résidus karmiques... Sans allègement du poids des mémoires, on répète incessamment les vieux mécanismes psychiques et comportementaux des énergies de l'involution, incompatibles avec les changements vibratoires évolutifs en cours.
Avant nous comptions sur le temps qui passe pour qu'une situation s'arrange ou qu'un problème se résolve, c'était le temps de l'involution… aujourd'hui il est temps d'agir dans l'instantanéité de ce qui advient dans l'instant présent. Vivre au temps présent c'est être dans la traque de ces "rendez-vous sur les chantiers" où s'invite la CONSCIENCE VIBRATOIRE, qui doit être "reconnue sur le champs" avec une compréhension globale à tous les niveaux. Il est possible, au début , de devoir faire appel au "super pouvoir de la volonté" car vivre dans l'instant présent sollicite sacrément cette force de volonté… Mais ensuite vivre au temps présent devient une "seconde nature" v/s "qui n'a plus besoin de secréter de la volonté"...
Cependant dans cette nouvelle seconde nature la pensée astrale est toujours omniprésente, quelle que soit notre volonté d'empêcher ses intrusions et viols psychiques. Nos basculements dans la conscience ne se font que coups par coups, chocs par chocs à coups d'évènements et d'oppositions qui accroissent notre compréhensions de certains mécanisme en nous et…. développent notre discernement dans toutes ces faussetés et menteries bien enfouies dans nos inconsciences.
Se mettre au diapason du temps présent, marcher sur le mince fil du temps où tout se joue en l'espace d'un seul temps, on a plus trop le choix que de comprendre chaque rdv au moment où il se présente dans notre calendrier. Être patients, se protéger et être pluridisciplinaires dans nos gestions émotionnelles... j'observe qu'il y a 4 ans c'était le même temps pour nous deux "de remplacer notre personnalité par une version d'elle toujours allégée"… y compris pour tout le reste dans ta conclusion…
Tu résume une réponse que je viens de poster dans l'ego supra-mental et/ou spirituel (#51). C'est de la réalisation qu'il n'y a pas d'émotions à vivre dans le creux de l'évènementiel que se produisent des "comportements inédits émanant des versions allégées de nos personnalités". Apprenons à ne plus se laisser dominer par notre corps émotionnel pour ne pas donner ses énergies aux prédateurs... Ni chercher à comprendre quoi que ce soit en laissant filtrer ce qui s'infuse en nous, puis l'intégrer et le digérer en suivant nos intuitions et nos instincts qui nous guident vibratoirement a coups sûrs vers nos discernements!
Je disais: "apprenons à ne plus se laisser dominer par notre corps émotionnel ... Ni chercher à comprendre quoi que ce soit en laissant filtrer ce qui s'infuse en nous, puis l'intégrer et le digérer en suivant nos intuitions et nos instincts qui nous guident vibratoirement a coups sûrs vers nos discernements!"
"de quelle filtration est-il question?"
Celait voulait signifier qu'être intelligent créativement dans la conscience supramentale c'est le résultat produit par notre créativité; exemple: si tu souffres et que tu identifies cette souffrance, que tu la maitrise et l'évacue en ne lui donnant aucune valeur émotionnelle, ça c'est intelligent et ça c'est le résultat (filtration) . C'est une façon d'évaluer son intelligence en ratio de ses propres réactions internes / résultats qu'ils produisent extérieurement.
Je disais également: "C'est de la réalisation qu'il n'y a pas d'émotions à vivre dans le creux de l'évènementiel".
Autrement dit une personne qui vit des évènements, sans y mettre aucune valeur émotionnelle elle réorganise sa vie, son territoire, en fonction de ses propres tenants et aboutissants, c'est un signe de conscience et d'intelligence créatrice à la fois dans son mental et dans la forme que prend la tournure des évènements. L''intelligence dans sa nature première c'est très simple pour que l'orgueil ne bouche pas sa vue. Ainsi la vibration de cette personne sera une vibration de simplicité tandis que pour une autre personne qui met une valeur subjective dans ses émotions elle sera complexe du fait de ses penchants à voir dans son processus créatif une manifestation de son intelligence, au lieu de voir dans son processus créatif de la confusion dans son mental. On est tous passés par cette confusion avant de trouver les bons engeancement dans sa vie...
En effet une conscientisation honnête et persévérante permet tout cela. La neutralité émotionnelle ne signifiant pas détruire tous les "garde fou" de certaines sensibilités comme le discernement, la conscience astrale ne pouvant pas se détacher des appétits de l'ego...
Qu'ils soient conscients ou non les désirs, appétits et autres besoins subjectifs de l'ego assouvissent les besoins mémoriel de l'âme tant que ceux-ci ne sont pas étouffés dans l'oeuf
Ce sont de vielles mémoires spirituelles qui nous ont conditionnés depuis la nuit des temps a être pressés de s'épanouir, comme un enfant quand il réclame la station debout alors qu'il peut encore se déplacer sur les genoux … L'empressement est aussi valable que la lenteur… dans l'un ou l'autre cas tâchons de pas nous faire étrangler par la frustration qui bouche la vue à nos ambitions…
"Il n'y a jamais apparition de rien'' en effet telles de vieux fantômes ce sont de vielles mémoires spirituelles, ou non, conditionnantes du cerveaux reptilien ou émotif. La conscientisation fait tomber le voile du mensonge cosmique pour faire évoluer un ego qui est programmé et prêt pour cela quel qu'en soit le prix qu'il en paiera... Des fois on est tant dépité qu'on se dit: "c'était plus confortable dans le lit de l'inconscience"...
Pourquoi se pense-t-on conscient tout en ne se votant pas encore intelligent?.
Parce que seule la colère consciente et non astrale, contrôlée et réellement dirigée contre les plans nous aide à rester le grand architecte de notre vie. Cette saine colère permet d'évoluer vers la conscientisation de l'ego qui devient éligible à la fusion donc éligible également à l'intelligence…
"le problème que j`y vois c'est que "pour faire autant de colères, il faut être très dynamique".
Y'a pas de problème, y'a que des solutions… La colère doit juste être consciente et non astrale, elle doit être contrôlée et réellement dirigée contre les plans. Bernard qui était éligible à la fusion, en tant que "travail" faisant partie de sa programmation, avait une saine colère qui lui à permit permet d'évoluer vers la conscientisation de son ego volontaire et vers l'intelligence de son esprit…
L'irritabilité est le lot de toute personne en fusion, elle est difficile à contrôler devant le vampirisme de l'esprit qui prend tout l'espace psychique et pour un ego qui ne supporte plus l'inconscience humaine…
L'expression avoir le feu au cul est différente selon les contrées... sa maladie, elle aussi programmée, ce dragon l'avait acceptée en tant qu'outil d'évolution.
Je ne suis pas sure qu'on puisse aimer Bernard d'un amour terrestre mais vibrer à la teneur et aux octaves des paroles qui sortaient de ses cordes vocales peut sans aucun doute devenir transitoirement addictif, tant l'effet thérapeutique est concluant. Mais comme pour tout on arrive à saturation pour voler de ses propres ailes, d'autant plus avec avec ce type de matériel d'une valeur inestimable.
Sa persévérance, sa volonté et son intelligence à fait de lui le socle d'une conscience renouvelée et un réel professionnel de la psychologie des profondeurs de l'inconscient jamais révélée aussi crument avant lui.
Lorsque notre chemin de vie est enfin compris au travers des expériences qui ont façonnés la personnalité de notre ego, nous pourrions presque en déduire les choses qui devaient être apprises. Qu'elles soient karmiques, expérientielles, mémorielles tous ces bagages pèsent lourds en énergies pour l'âme en voie de fusion, nous pourrions également à ce stade anticiper ce qu'il nous reste à apprendre pour finaliser cette fusion vibratoire ou morontielle… Le travail se fait dans un anonymat personnel et abyssal qui n'a besoin d'aucune autre reconnaissance que celle de soi-même dans cette expérience planétaire en marche depuis des éons de temps.