Étude comparative de l'intégration féminine et masculine


Étude comparative de l'intégration féminine et masculine

 

L'homme, qui a eu aussi une expérience de femme dans d'autres incarnations, garde dans ses mémoires le souvenir et l'énergie de cette expérience d'accouchement, fusse-t-elle de lui-même ou d'un enfant…

La nouveauté est sans doute la réalisation de l'équilibre des forces qui résident dans les pôles féminin/masculin de chacun de nous que nous soyons du sexe mâle ou femelle dans cette vie ou d'autres à venir…

 

L'homme et la femme veulent se libérer de la matrice en conscience après avoir constaté la nécessité d'équilibrer leur polarité mâle et femelle en eux pour se sentir mieux dans leur peau…

A ta question pourquoi l'homme veut-il se libérér du carcan millénaire de sa supériorité conjugale ? Une première raison, tout à fait subjective et partie prenante, la femme ne supporte plus le joug de la domination et du contrôle d'où qu'ils viennent surtout dans son couple... Ce qui met la puce à l'oreille c'est que sa femme se retire de ses attributs de mère pour vivre son individualité, l'homme n'a plus besoin d'une mère au foyer.

Le développement du respect dans la communication du couple se fait par la volonté et l'intelligence qui sont les ingrédients principaux pour la création des doubles universel respectifs… On n'est pas sortis du bois à ce niveau-là tant que la dualité des doubles lucifériens ne s'est pas tassée en nous…

 

C'est d'abord la femme qui est écœurée de la domination de l'homme sur elle, en lui retirant son énergie et en lui rendant son tablier de mère elle coupe le cordon ombilical qui fait passer l'enfant à l'âge de raison... Mais l'adolescence de ce nouvel enfant sera longue car il n'a pas l'intelligence de la femme, il est moins connecté aux plans, il a encore trop besoin de "briller" et de vivre par procuration sur les énergies d'autrui par ses complexes messianiques = vs ego "résistant"...

 

L'homme et la femme, pour être totalement libérés de la domination l'un de l'autre ou de l'un sur l'autre, doivent chacun d'abord travailler à se libérer de la domination de ses conditionnements dans lesquels sont incrustés tous les engrammes planétaires et ancestraux, les pensée et les vieux schémas archétypaux en font parties intégrales.

il faut quand même reconnaître que la femme est un peu plus en avance que l'homme dans cette habileté à la libération, lui il est plus habile dans d'autres domaines mais dans ce cas on est pas en compétition d'habileté mais de constat... J'aime bien ta définition du suicide identitaire, couper le cordon très tôt avec sa mère et son père favorise une ressuscitation rapide !

Apprendre à se libérer est un gros travail de l'ego qui d'abord doit éradiquer orgueil, vanité, vantardise et autres dérivés narcissiques dont l'ingérence sur autrui participe. En effet, ne rien attendre de personne mais de soi-même, sans mettre la charrue avant les bœufs au risque de grandes déceptions.

 

Au 21ème siècle nous charrions encore plein d'idées reçues sur ce qu'est l'homme, sur ce qu'est la femme… Avec l'évolution des mœurs et l'éducation universitaire la proportion inéquitable d'hommes et de femmes "à gros câble électrique, a volonté agissante a vue longue portée", font que les femmes deviennent de plus en plus structurées pour s'adapter aux hautes tensions énergétiques. Ceci aux fins de subvenir, souvent mieux que les hommes, aux changements vibratoires des corps physiques et subtils…

Les seules limites que la femme doit arriver à dépasser sont celles des frontières relationnelles et émotionnelles à cause justement de leur plus grande réceptivité aux mondex subtils qui élargissent à 380° leur perception de l'invisible.

En réalité le concept de hiérarchie n'est qu'un concept "musclé" qui perdure encore allègrement dans toutes les sociétés…

Le concept de "maitresse femme" à également une place hiérarchique où la femme domine le "muscle" de l'homme d'une autre façon que la force physique…

Que l'homme soit le pourvoyeur de fonds est un fait dans la plupart des couples encore aujourd'hui. Il rend ce concept irritant pour la femme dominée parce qu'elle n'a pas d'autonomie financière, faisant d'elle une prisonnière du bon vouloir "nourricier" de l'homme. Ce qui est mutuel dans ce couple-là c'est qu'il donne le gite et le couvert et elle l'énergie sexuelle. Est-ce réellement équitable ?

Lorsque la femme se conscientise, et que son pourvoyeur ne reste qu'à l'étage de pourvoyeur de fonds, oui définitivement elle ne peut plus reconnaitre aucune autorité de sa part au-dessus d'elle, ni sexuellement, ni nouricièrement.

Une femme "intégrée" dans son intelligence et sa volonté ne se sentira pas supérieure à cet homme-là. Elle se sentira au contraire différente des autres femmes parce qu'elle, depuis la reconversion de sa conscience, elle "acte" des compromis "intelligents" là où les autres subissent encore les déséquilibre d'une relation "esclavagière".

La femme ne changera jamais l'homme et vice versa, les hormones qui régulent leur organisme ne le permettent pas, c'est ce qui donne à tous deux une approche émotionnelle des choses et de la vie différente. De fait le couple peut fonctionner, ou pas, de surcroit parce que l'homme et la femme sont génétiquement polarisés (féminin/masculin) avec les variables de leurs concepteurs respectifs qui les manipulent occultement.

La femme devient scientifique d'elle-même dans l'observation des actions/réactions au sein d'une relation partenariale ou duelle. Le sexe fort aujourd'hui n'est plus celui qu'elle croyait dans sa naïveté de femme soumise… Sa dé-croyance peut la surprendre au début, puis son intelligence rétablit la mesure de ce qui devient juste pour elle…

 

La vie cesse d'être déplaisante quand on se sait être le héros de sa vie, celui qui joue chaque scène avec perfection, qu'il y ait de l'émotion, de la nervosité ou non, ce ne sont que des énergies de propulsion, à nous de dépolariser ces énergies qui nous propulse toujours plus loin…ça devient intéressant quand c'est vécu consciemment, a deux encore mieux car la propulsion prend la vitesse des turbos moteurs…

 

Placer la barre très haut dans nos exigences de qualité relationnelle nous amène à vivre un combat entre ce qui est et ce que nous aimerions qui soit. En se détachant de la dualité dans notre esprit on arrive à quelques bons résultats après être passé par tous les doutes possibles. Cette souffrance de la transmutation du corps mental, jusqu’à l'équilibre de nos énergies, est le prix à payer pour notre individualité, "se donner le droit" fait partie de cette individualité et de notre autorité intérieure.

 

Il n'y a rien à juger en quoi que ce soit, le jugement est une surimposition de pensées qui ne nous appartiennent pas… quand est-ce qu'on va se souvenir définitivement de cela ? Le droit à la critique objective et consciente n'est pas jugement.

Les femmes conscientes ont chacune des modes opératoires différents, selon la nature de leurs relations karmiques et de leurs programmations, pour se donner le droit de ne plus se soumettre et contester ses relations aussi bien dans le couple, au travail qu'en amitié.

Elle ne nourrit plus ses conditionnements moralisants, culpabilisants, spirituo-religieux, ni même ses attachements conditionnés aux droits des autres qui peuvent bien le prendre sans sa permission.

En effet le karma de soumission de la femme est fait pour qu'arrivée à l'écœurement de cette soumission elle SAIT ce que veut dire être libre… du coup elle se donnera le droit de rendre libre son partenaire de la domination qu'elle aussi exerce sur lui.

 

Le droit à la critique objective et consciente n'est pas jugement dès l'instant que nous ne sommes plus assujettis aux croyances spirituellement naïves en l'amour planétaire, dès l'instant qu'on respecte sa vibration tout en respectant la vibration de l'autre... On manque de respect à soi et à l'autre quand on ne respecte pas les plans de vie et programmations qui sont hors de notre contrôle.

Décider de gérer son couple est un acte prétentieux car nos programmations karmiques sont hors de contrôle de notre volonté, ce que nous avons à vivre avec l'autre est acteur et partie prenante de notre évolution planétaire où tout est polarisé amour/haine, ce sont des énergies expérientielles de l'âme. On se prendra au sérieux, encore de l'expérience de l'âme, tant qu'on n'aura pas intégré le principe de l'Amour qui est un Amour cosmique, énergétique, intelligent...