La volonté

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• #1

  Josée (vendredi, 14 février 2020 18:39)

  1 Bernard
  À partir du moment où l'homme brisera la main qui le retient, il commencera à connaitre le pouvoir, parce qu'il aura finalement compris que c'est lui qui détient le pouvoir, et non la main qui le retient.
  
  Josée
  Briser la main qui nous retient, c'est réussir à briser nos chaînes du seul fait qu'on se réapproprie notre puissance latente. Briser la main qui nous retient, c'est regrouper entièrement notre propre personne au niveau de l'énergie et y trouver la force de rompre l'envoutement qui nous faisait croire en notre faiblesse. Briser la main qui nous retient, c'est passer de croire à bouger - dans le sens de bouger au niveau de l'énergie. C'est un renversement de régime conduit par une personne seule mais soudain éveillée au mensonge de sa condition.
  
  Edwige
  L'ego bien campé dans son mental supérieur n'est plus assujetti aux forces involutives de l'âme, il est uni à l'énergie de son jumeau éthérique, à eux deux ils ont le "pouvoir" sur les forces involutives.
  
  Briser la main qui nous retient c'est couper le cordon ombilical de nos géniteurs en utilisant notre énergie créative qui nous sort de la matrice avec ses croyances limitantes.

• #2

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 18:41)

  2 Bernard
  Il faudra que l'homme soit sensible à sa vibration, à sa volonté, et qu'il ne s'occupe pas de son intelligence, parce que son intelligence est toujours le produit de l'action de sa volonté, et l'homme en général fait le contraire, il s'inquiète d'abord de son intelligence, et ensuite il prend conscience de la volonté. Et c'est le mouvement contraire que l'homme doit appliquer dans la vie. La volonté d'abord ! Toujours la volonté d'abord ! ...Et ensuite suit naturellement l'intelligence. Si l'homme s'occupe trop de l'intelligence, il n'aura pas de volonté. Si l'homme s'occupe trop d'intelligence, il perdra même de la volonté.
  
  Josée
  Toujours la volonté d'abord ! L'homme n'a rien d'autre à répondre à la vie. L'amour est spirituel et l'intelligence, intellectuelle, s'ils sont émis en réponse à la vie. Chaque pas se fait avec le glaive prêt à repousser les jeux de l'esprit. La volonté nous dit comment respirer. Le temps est une jungle touffue où seule la volonté nous fraie un chemin. La volonté, c'est la grandeur de l'homme, état in-dis-pen-sable.
  
  Edwige
  Suivre sa vibration c'est écouter l'énergie souterraine de l'âme qui pousse l'ego à agir au-delà de toutes inactivité dans ses souffrances, cette poussée devient VOLONTÉ. "S'inquiéter d'abord de son intelligence" c'est mettre la charrue avant les bœufs, ce n'est pas ainsi qu'on cultive l'intelligence…les bœufs d'abord, toujours les bœufs d'abord si on veut fertiliser son terrain.
  
  La volonté est une empreinte énergétique engrammée dans un code de naissance qui lui seul sait vers quoi la vie le dirige. L'amour et l'intelligence ont été dévoyés par les plans astraux, mais la conscience originelle (esprit) à toujours su où focaliser son attention dans la volonté inclue dans le programme de chacun.

• #3

  Josée (vendredi, 14 février 2020 18:42)

  3 Bernard
  Il regardera le coté planétaire humain de sa conscience, le coté volonté, et il verra que, tant qu'il n'a pas saisi ce principe, tant qu'il n'a pas donné à ce principe la personnification de l'homme, tant qu'il n'a pas rendu ce principe parfaitement humain, il ne peut pas gouter des aspects plus subtils, plus cosmiques, plus universels, des autres principes, que nous appelons l'intelligence ou l'amour.
  
  Josée
  Rendre la volonté parfaitement humaine c'est la remettre dans le réel des du moment présent, ce carrefour de forces de toute sorte, qui demande qu'on gère notre équilibre sans faire de chichi autre que de se procurer cet équilibre dont nous avons tellement besoin. Si on habite le moment, si on le remplit complètement et avec la juste mesure, alors on se protège de tout ce qui vient à nous pour qu'on aille le croire. Tout ce qui n'est pas puissance est un semblant de volonté. Tout ce qui n'est pas puissance est chimère. Notre volonté est puissante et en même temps il faut la protéger des chimères pour qu'elle naisse dans sa puissance. Tant que volonté et homme ne sont pas synonymes, on est dans un semblant de volonté et un semblant d'homme, occupés à jouer les vieux jeux dangereux.
  
  Edwige
  La volonté est le premier attribut dont l'humain a été doté dans son cerveau primitif, car sans volonté parfaitement humaine, qui détermine la personnalité humaine, pas d'existence dans cette vie désertique et aride (se loger, se nourrir, survivre etc.). Cet attribut lui a permis, au cours des âges, de développer son corps astral pour toucher à des subtilités expérientielles, cosmiques ou universelles. Même astralisée sa volonté a su développer certains pans de son intelligence fine et de son amour planétaire.
  
  La volonté est la seconde nature de l'homme réel, il déjoue les jeux de cache-cache des forces astrales, il vit dans l'instant présent où les limitations des croyances et des conditionnements sont dépassées.

• #4

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 18:43)

  4 Bernard
  L’homme nouveau devra comprendre que la volonté n'est pas simplement primaire. Qu'elle est fondamentale. Elle est fondamentale à tout, parce que sans volonté, il ne peut passer dans l'homme d'énergie.
  
  Josée
  Sans volonté, il ne peut passer dans l'homme d'énergie. Sans volonté, l'homme ne se connaît pas, ne s'affirme pas, il est passivement bombardé par l'artillerie qui, elle connaît ce qu'il ne connaît pas de lui et lui offre une apparence d'énergie autonome et cohérente. L'énergie n'existe pas pour moi - tant que je ne commande pas son passage en moi. Jamais rien n'aura été autant voulu.
  
  Edwige
  La volonté n'est pas un attribut primaire, du cerveau primitif, c'est une énergie cosmique qui permit à l'homme de tenir le choc de sa séparation d'avec le feu cosmique de sa conscience originelle.
  
  Tous les hommes ont un minimum de volonté mais pas tous sont sans dessein. Celui qui a une volonté sans dessein ne s'affirme pas, il se laisse assujettir à la volonté des forces involutive, du coup il vampirise autrui parce que dépourvu de forces vives en lui.

• #5

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:02)

  5 Bernard
  La volonté est fondamentale à tout, parce qu’elle met l'homme face à l'infinité. Elle met l'homme dans une arène de lutte contre des forces qui sont grandes et puissantes, mais jamais aussi grandes et jamais si puissantes qu'elles puissent faire de lui un esclave.
  
  Josée
  La volonté met l'homme face à l'infinité. Sans volonté, l'homme ne peut pas découvrir ce que ça signifie, d'être face à "l'infinité". Sans volonté, il peut pas découvrir qu'être face à l'infinité, ça veut dire être dans sa propre infinité. L'image de l'homme petit debout devant l'immensité des magnitudes est le niveau de mensonge qui fut atteint ici sur terre. tout dans cette image est faux. il n'y a de rencontre possible que si l'homme est identique à l'infinité. Un homme réellement debout est en train de se commander sans cesse et sans répit d'être identique à l'infinité qu'il connaît en lui.
  
  Edwige
  La volonté dans cet homme primitif lui permit de se battre, tel un gladiateur, contre des puissances qui n'ont eu de cesse de vouloir le mettre à terre. Mais jamais vaincu, jamais il ne mit le genou à terre devant ces puissances.
  
  La volonté est l'attribut de tous les possibles universels et personnels en devenir. C'est l'attribut également du déchirement des voiles mensongers dans sa conscience. C'est aussi la rencontre avec l'énergie de son jumeau qui lui montre que l'infini est illimité.

• #6

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:04)

  6 Bernard
  Les autorités occultes dans l'homme devront un jour manifester de l'intelligence, c'est-à-dire aller dans le courant de l'homme, dans la direction de l'homme, aider l'homme. Mais ceci ne sera possible que lorsque l'homme lui-même aura brisé les voiles qui donnent à ces autorités l'impression d'être de façon absolue au-dessus de sa conscience.
  
  Josée
  L'émancipation de l'homme est parfaitement autonome. Elle se déjoue de la prédation des forces occultes qui, à leur façon inversée, ont servi au grand projet terrestre. Il y aura émancipation future de ces forces occultes mais celle-ci ne sera pas autonome, elle aura besoin de l'émancipation de l'homme dans toute sa puissance. Les forces occultes, pour s'émanciper, auront besoin de constater que l'homme n'était pas leur créature mais au contraire le véritable champion du projet, le géant qui accepta de jouer leur jeu dominateur à des fins cosmiques. Les forces finiront par réaliser que l'âme, cette âme qui leur semblait plafonnée et à sa place dans leur organisation factice, s'est déployée et déchaînée par elle-même.
  
  Edwige
  Il revient à l'humain, par sa volonté, de soulever les obstacles qui font croire aux consciences occultes qu'elles sont plus grandes que la conscience humaine, animalisée par eux. Ces consciences barbares par leur propre volonté doivent se doter en énergie d'intelligence pour aller vers l'humain et travailler avec lui.
  
  L'humain s'émancipe seul par la force de sa propre volonté, sans volonté et sans dessein affirmé il reste esclave des forces occultes. Le projet terrestre, initié par la source des origines de la création, fut dévoyé par les désirs Lucifériens. Il a maintenu les humains sous sa coupe au lieu de couper le cordon ombilical de ce qu'il considéra comme sa créature. Cette créature se servit des forces et des énergies souterraines de son âme pour booster sa volonté et rompre ses liens macabres avec ce concepteur de mondes involutifs.

• #7

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:05)

  7 Bernard
  Sans volonté, l'homme est un être absolument comme un voilier sur l'océan. Il ne possède pas de façon de se diriger en ligne étroite vers le port. Sans volonté, l'homme est incapable. Même s'il sait que le port est à gauche ou que le port est à droite, il est incapable de se diriger dessus parce qu'il ne possède pas de gouvernail. Et le gouvernail, c'est la volonté de l'homme. C'est l'aspect le plus important, le plus primaire de l'homme. Et avec cette volonté, avec ce gouvernail, incassable, infracturable, l'homme pourra ensuite utiliser son intelligence pour chercher le port. Il pourra utiliser l'amour pour aimer ceux qu'il découvrira là, au bout de son voyage.
  
  Josée
  La volonté est l’indispensable gouvernail qui permet à l'homme de se donner la direction qu'il veut. Et quels sont les besoins qui dirigent l'homme ? Il n'y en a qu'un, qui se décline avec l'usage : le développement de la volonté, le perfectionnement du gouvernail, la maîtrise de la vague. Oui l'homme a besoin d'intelligence, il a besoin d'amour, mais il sait que ces besoins là sont des ports, que ce ne sont pas des outils à maîtriser mais des ports qui existent au-delà des vagues. Il sait qu'en usant du gouvernail de son voilier, il accédera à ces beautés, alors son besoin, il se résume à tenir sa direction.
  
  Edwige
  Depuis que l'humain a été séparé de sa source il est perdu dans l'immensité de la terre. Doté du principe de la volonté, quand il sait s'en servir elle devient un GPS intelligent qui le conduit toujours à bon port quel que soit son projet. Son intuition l'amène à s'harmoniser intelligemment pour être en affaire avec les personnes qu'il croise sur sa route.
  
  La volonté est le fer de lance qui donne la direction à l'homme volontaire qui suit le GPS de son intelligence, qui utilise les mouvements de l'énergie de sa volonté pour arriver à destination, là où la tranquillité l'attend.

• #8

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:06)

  8 Bernard
  L'homme, s'il possède un bon gouvernail, il n'a pas d'inquiétude de se promener sur les océans, à travers les vagues monstrueuses, parce que s'il possède réellement l'outillage, solide et incassable, de la volonté, il ne peut pas être détruit par les vagues.
  Josée
  Volonté = indestructibilité. c'est parce que rien n'est à l'épreuve de la volonté que la volonté permet de tenir la direction. Exercer de ce pouvoir légitime c'est tuer l'insécurité.
  
  Edwige
  Avec une volonté de fer et un GPS toujours performant, l'humain peut traverser la terre entière contre vents et marées. En dépit de tous les obstacles sur sa route il a créé de la résilience, il est devenu plus fort que la vie et les puissances involutives qui le traverse de part et d'autre.
  
  Volonté = perfection dans l'action qui mène droit au but, en toute sécurité.

• #9

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:07)

  9 Bernard
  Nous avons cru pendant longtemps que l'homme devait être soulevé par les vagues océaniques, et amené là au rythme des vents divins ! (…) Mais ces vents soi-disant divins, n'ont pas le rôle de l'amener à bon port, mais ont simplement le rôle de lui faire réaliser sa petitesse. Et l’homme ne doit pas sentir en lui de petitesse. Il doit se grandir.
  
  Josée
  Fini le temps où Ulysse devait apprendre à sentir sa petitesse et à laisser son voilier aller au gré des vents. Fini le temps où, du fait de se sentir petit, il espérait l'aide céleste pour diriger sa vie. Ulysse, voyant que le gré des vents est de le faire tourner en rond, a éventré le système des vents. Il voit maintenant comment le système des vents n'est qu'une bulle virtuelle dont il n'a plus que faire. Le seul besoin d'Ulysse aujourd'hui est de taire les sirènes. Couper l'impact des signes et des messages = s'échapper de la bulle.
  
  Edwige
  Durant sa période involutive l'humain vécu en plein cœur d'une épopée à la Gulliver pour finir par rétablir son rang de plein droit. Il devint le géant parmi ces nains qui l'ont méprisé, rapetissé avec une intelligence aux pensées machiavéliques.
  
  Nous avons tous de l'Ulysse ou du Gulliver en nous. Ce soi-même qui s'est battu contre vents et marées pour surmonter l'immensité des vagues, la frayeur des tornades, la fureur des tonnerres. Une vie agitée seulement dans les illusions et les phantasmes de l'ego, provoquées par les plans astraux qui, durant ce temps, se nourrissaient des énergies déployées au combat contre ces puissances de la nature.

• #10

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:09)

  10 Bernard
  Il se donner la grandeur nécessaire pour affronter tous les vents de cette conscience océanique, afin de s'amener lui-même au port, afin que lui puisse rendu au port, vivre une vie normale, c'est-à-dire une vie naturelle, où les forces lui obéiront, parce qu'il aura gagné la bataille de la vie.
  
  Josée
  L'homme a vécu l'Expérience avec un e majuscule. Dans l'Expérience, qui est un océan d'expériences, tout était traficoté pour lui : les pensées vents et les pensées vagues, version alizée ou version tempête. C'était traficoté pour convenir à la petitesse spécifique où on le confinait, pas pour convenir à son besoin. L'homme commence à profiter de l'Expérience quand il prend la direction de la sortie. C'est drastique parce rien dans l'Expérience ne lui indiquera la direction de la sortie. Soudain l'homme doit s'amener lui-même au port, donc s'extraire déjà tout de suite du jeu des forces virtuelles.
  
  Edwige
  Devenu géant sur terre il vit son existence en harmonie avec sa nature de vainqueur invaincu, les forces s'inclinent, c'est elles maintenant qui lui obéissent.
  
  L'expérience à eu pour but de forger la personnalité (caractère et tempérament) afin qu'il souffre doublement de cette personnalité. C'est dans cette personnalité que se trouve toutes les météos de l'ego qui se cru si petit dans ses hauts et ses bas. Quand il tomba très très bas, d'un coup de pied volontaire il remonta très très haut. De ce point de vue sommital il observa la petitesse des forces qu'il finit par dompter de sa puissance retrouvée.

• #11

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:10)

  11 Bernard
  (Rendu au port) il aura gagné la lutte, il aura vue à travers les mensonges, les voiles de la vie, qui dans le fond, sont la fabrique même des vents qui enlèvent à la mer son calme pour lui donner constamment l'apparence rugissante d'un animal.
  
  Josée
  Le mensonge de l’océan, le mensonge de l'Expérience, c'est de présenter la vie comme une bataille. Sortir de la bulle expérientielle ne signifie pas livrer une nouvelle sorte de bataille. Le voilier qui progresse vers le port ne se bataille plus avec l'océan. Progresser vers le port, c'est affirmer que la vie n'est pas cet arène animal. Exercer la volonté, c'est fendre la vague qui est à la proue sans s'arrêter à estimer si elle est monstrueuse.
  
  Edwige
  Gagner la lutte c'est devenir clairvoyant, c'est savoir déchiffrer tous les niveaux d'illusions infiltrées dans ce qui nous est présenté, dont le seul but est de nous déloger de notre centre.
  
  Présenter la vie comme une bataille est le principe même du mensonge cosmique, il nous fait batailler contre la vie pour des mauvaises raisons, des raisons psychologiquement subjectives.
  Sortir de l'expérience c'est entrer dans un processus de conscientisation qui devient une bataille vibratoire objective contre tous les parasites de la conscience. Exercer la volonté, c'est tomber les voiles de l'illusion qui nous font croire que la vie est un long fleuve tranquille.

• #12

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:11)

  12 Bernard
  La vie doit être calme. La vie sera calme, lorsque l'homme aura dompté la vie. Et c'est pourquoi sa volonté est essentielle. C'est pourquoi elle doit venir avant l'instinct de la créativité
  
  Josée
  Seule la volonté maîtrise les forces occultes qui dénaturalisent la vie. Elle seule a la puissance de restaurer ainsi la vie dans sa nudité. Fendre l'océan, vague après vague, instant après instant, c'est restaurer la vie dans sa nudité. L'homme saura éventuellement rendre complètement la vie à sa nudité originale, avec sa paix originale, sa créativité originale. Mais pour y arriver il doit - non pas nourrir cette anticipation - mais revenir à sa seule volonté de fendre la vague de l'instant. Fendre l'océan ne peut que permettre éventuellement aux attributs de la vie d'apparaitre d'eux-mêmes .
  
  Edwige
  Dompter la vie signifie la maitrise des obstacles sur le chemin, la volonté aidant les prises de décisions dans les carrefours giratoires de sa destination.
  
  Les force occultes dénaturalisent la vie terrestre pour la rendre à l'image de la "chiantitude" de l'existence dans le monde de la mort. La volonté utilise l'énergie de vie en toutes choses autour d'elle pour laisser croitre et fertiliser cette vie sans frontière spiritualisante.

• #13

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:13)

  13 Bernard
  L'homme un jour devra avoir suffisamment de volonté pour voir que là où il a besoin d'être transmuté, c'est là qu'il a besoin d'appliquer sa volonté, afin de mettre une fin finale à ce jeu, entre les forces cosmiques de sa conscience et lui sur le plan matériel. (…) Les dieux dans l'homme doivent être abattus.
  
  Josée
  La faiblesse est une servilité spécifique à une valeur, ce qu'on appelle un "dieu". La faiblesse est un élément vital de l'Expérience institué par les forces cosmiques pour que la transmutation de la faiblesse aille de pair avec le développement de la volonté. Il ne s'agit pas de deux processus parallèles mais d'une même émancipation. Cette émancipation résulte de chaque moment de contact énergétique direct entre la faiblesse et la volonté. Une fois que s'éveille la volonté, le temps n'est alors plus rien d'autre que cet agenda de rencontres continuelles entre l'homme et sa faiblesse, invitant l'homme à se présenter au rendez-vous avec au bout du bras le glaive de sa volonté. L'homme capable de se présenter au rendez-vous avec au bout du bras le glaive de sa volonté est capable de réarticuler l'agenda, d'alléger l'agenda, de rapprocher le port. Identifier la faiblesse est accessoire. Appliquer sa volonté où on a besoin d'être transmuté, ça veut dire appliquer sa volonté au moment où on a besoin d'être transmuté : quand on souffre.
  
  Edwige
  Dans le processus évolutif de l'ego quasiment toutes les mémoires de l'âme appellent à la transmutation pour libérer l'ego de la prison de son corps émotionnel. Un corps émotionnel qui laisse prise à son pillage énergétique physique et psychique, tant qu'il garde des croyances en une supériorité hiérarchique au-dessus de lui.
  
  La faiblesse est une entorse de l'ego qui utilise cette faille pour se dédouaner d'être sans dessein. C'est l'aspect "sans dessein" qui doit se transmuter en projet évolutif pour cet ego par la puissance de sa volonté, qui l'amène à s'émanciper des forces involutives. Identifier la faiblesse de l'ego c'est identifier là où la lumière de l'esprit à du mal à passer pour le buriner, le nettoyer, le polir, le dégrossir, le rendre transparent, volontaire et courageux. Ce sont tous ces mouvements d'énergies qui œuvrent au processus de transmutation des souffrances de la personnalité en faiblesse.

• #14

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:14)

  14 Bernard
  Le point final de la destinée de l'homme, c'est la rencontre entre l'océanie de sa conscience, c'est-à-dire l'infinité des forces, et son petit bateau, son être matériel, sa colonne vertébrale, son système nerveux, son appareil matériel et psychique à la fois, qui doit être sous son contrôle, pour que l'homme puisse finalement sentir qu'il est un être libre.
  
  Josée
  L'homme, grâce au gouvernail de la volonté, fendra les vagues de la faiblesse qui lui fut contractée. En contrôlant son bateau sur l’océan, il restaurera par lui-même sa liberté originale. Sa saga sera aussi héroïque que secrète, étant exposée aux sirènes particulières qui flottent entre sa personne et son entourage. D'ailleurs, l'homme réalisera que rien n'est plus privé que sa liberté. Être libre voudra dire s'émanciper de sa faiblesse dans le feu d'un échange mais en secret. La quantité de vagues ne peut pas plus être communiquée qu'être rationalisée, elle est illimitée. Seul importe le contrôle, qui donne des ailes au bateau. Le contrôle de l'océan par la volonté transmute le petit bateau physique et psychique de notre faiblesse en corps de liberté.
  
  Edwige
  La destinée finale de l'humain c'est d'abord le contact avec l'énergie de son double, puis la fusion avec lui et enfin l'incorporation de cette contrepartie cosmique, sa descente, sa matérialisation dans son véhicule physique.
  
  La personnalité en faiblesse transmutée pour les besoins évolutifs de sa conscience originelle, retrouve un jour la volonté originelle. Cette volonté le libère des prisons ancestrales et astrales, il devient le capitaine du bateau qui le mène dans son havre de paix.

• #15

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:15)

  15 Bernard
  Les formes-pensées face au cosmique, face à l'universel, face à la symbologie des sphères, doivent être totalement neutralisées chez l'homme, pour que l'homme devienne réellement un centre mental énergisé sur le plan matériel, à l'intérieur duquel une concentration soit établie, pour que lui un jour, puisse finalement écrire sa destinée, sur les murs de la vie.
  
  Josée
  Tout ce qui est iconographie ou cosmogonie n'a pas sa place. Ça n'a plus lieu d'être. Ça nuit à une traversée de l'océan sans chichi et droit devant. Pour s'enfiler droit devant dans l'océan, il faut être le plus épuré possible. Être volontaire c'est être juste nous et notre proue d'acier qui fend le moment, qui en fait fi. Toute image est un encombrement, on le réalise quand on souffre. On peut et on doit devenir un centre d'énergie puissant et autonome à l'instar des êtres du plan mental, à la différence que nous c'est sur le plan matériel qu'on peut et qu'on doit devenir énergisé. C'est la volonté qui nous transmutera physiquement en une nouvelle sorte d'étoile jamais vue. Avec la volonté l'homme deviendra la proue de l'esprit dans la matière.
  
  Edwige
  Les formes pensées véhiculées par les mots, prisons de l'esprit, brouillent la communication vibratoire des sons atomiques de ces mots qui n'atteignent jamais leur destination dans la matière. Défragmenter ces formes, dans le centre mental supérieur, permet à l'énergie du jumeau éthérique de garder le centre de la gravité terrestre dans laquelle l'homme met en gestation son devenir.
  
  Un ego transparent et volontaire à suffisamment de lucidité et de discernement pour réaliser objectivement que sa souffrance est vibratoire, qu'elle le pousse à transmuter le moindre artéfact mémoriel dans son âme et dans sa conscience. Cette transmutation laisse place à un regain d'énergies dans tous les corps subtils et physique, reflétant l'esprit renouvelé dans la matière.

• #16

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:17)

  16 Bernard
  Il n'y a pas de règles dans la vie qui font de l'homme un être inférieur à lui-même. Il n'y a pas de forces du cosmos qui font de l'homme un être esclave. Il n'y a que l'homme qui puisse se rendre esclave de ces forces, que ces forces soient de l'astral de la mort, ou que ces forces soient de l'intelligence ou de la lumière.
  
  Josée
  L'exposition de l'homme à la domination des plans invisibles est une aberration nécessaire tant qu'il est pas morontialisé, tant qu'il n'est pas sorti de l'Expérience, tant qu'il n'est pas rendu au port. L'homme aujourd'hui est constamment aux prises avec des obstacles qu'il traverserait comme du beurre s'il ne les abordait pas toujours avec l'image d'un organigramme des plans invisibles qui le dominent. L'homme aujourd'hui comprend que cet organigramme n'est que ça : une image mais ne peut détruire intellectuellement cette image implantée subliminalement en lui. Seule la volonté exercée sans relâche l'empêchera de croire à cet organigramme - l'empêchera de faiblir dans un chant de sirène. La volonté réelle de l'homme, l'énergie de son seul besoin réel, n'est pas de nourrir un organigramme mais de se diriger vers son identité. L'homme n'est pas encore. Il incarne un mouvement qui le fait pédaler et ramer beaucoup sans pouvoir intégralement se goûter dans sa cohérence. Un jour tout sera simplifié et on verra qu'être c'est être identique à soi-même. Et d'ici là, on en est encore à nourrir l'aberration de générer nous-mêmes notre propre dominabilité.
  
  Edwige
  L'homme doit apprendre qu'à l'origine de ses origines, dans le feu cosmique de sa conscience prépersonnelle (esprit), dans l'énergie de son jumeau éthérique (double) il est un être dans sa toute-puissance créative. A ce titre, il se rappelle que rien, ni personne, ne peut l'assujettir, le manipuler, le dominer, le placer sous tutelle, le déresponsabiliser, lui soutirer sa volonté et sa propre intelligence.
  
  La domination de l'homme par les plans est à l'identique de la domination de l'homme sur ses congénères, c'est un exemple qu'il a suivi pour ses besoins et désirs égotiques. Souvent l'humain crée ses propres obstacles dans l'inconscience des tenants et des aboutissants des actes qu'il pose dans sa vie. Il se déresponsabilise en se croyant dominé par plus fort que lui, alors que rien n'existe au-dessus de lui, tout n'est qu'illusion astrale. Son identité réelle il la retrouve dans la conscience que rien ni personne n'est plus habile que lui pour maitriser l'énergie de la volonté dans son autorité intérieure.

• #17

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:18)

  17 Bernard
  Là où il y a frustration dans la conscience de l'homme, il y a absence de volonté..
  
  Josée
  Cette définition de la frustration résonne beaucoup avec l'approche masculine de la vie historiquement parlant. Historiquement l'approche masculine de la vie ne fut pas tapissée de frustration mur à mur comme l'approche féminine de la vie. Du moins l’homme ne ressentait-il la frustration que par secteurs. De plus, avec de la dominance, il pouvait se payer le luxe de refuser la frustration. Aujourd'hui, avec l’arrivée de l’esprit, hommes et femmes qui voient s’expandre le territoire de leur conscience, doivent gérer plus de frustration au quotidien. La guerre finit par se déclarer entre la personne et son pervers ennemi la frustration. Quand la frustration s’avère omniprésente au quotidien, la conscience ne peut plus rester semblable à un territoire que la personne gère selon ses moyens – intellectualisant la frustration à partir d’un besoin d'ordre et d'équilibre général ou à partir d’une haute intolérance à l'effet inconfortable et désagréable de la frustration. la conscience ne peut plus rester semblable à un territoire cartographié avec des poches anxiogènes. Soudain tout est un rendez-vous avec le moment en tant qu’entrave à la liberté désarmable ou désamorçable par la volonté.
  
  Edwige
  La frustration est l'illusion d'un retrait d'attributs que l'être dans son intelligence et sa volonté ne peut concevoir.
  La frustration est une faille dans l'ego qui s'est cru pouvoir obtenir ce qui veut quand il veut, quitte à le voler à autrui quand il ne l'obtient pas par lui-même. La frustration chez l'homme fut surtout la frustration de l'énergies sexuelle que la femme lui refusa pour diverses raisons et motivations, voire comme des boomerangs en réponse à ses propres frustrations névrotiques. Refuser la frustration transforme l'homme dominant en trousseur de jupon. Le contact avec l'énergie du double délimite plus que jamais des territoires de conscience auparavant sans frontières verrouillées. Aujourd'hui celui qui viole cette frontière est considéré comme l'ennemi immigrant dans un territoire défendu, la frustration bat son plein, mais la résistance à l'intrusion doit l'emporter sur des frustrations mercantiles.

• #18

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:19)

  18 Bernard
  Une autorité qui subjective la volonté de l'homme n'est pas une autorité, elle est simplement une possession. Une autorité qui s'impose à l'homme, qui domine l'homme, doit être tuée et détruite par l'homme. (…) Plus l'homme deviendra conscient, plus il se refusera d'être contrôlé à quelque niveau que ce soit, empêché à quelque niveau que ce soit, parce qu'il aura compris que les forces en lui à quelque niveau qu'elles sont, représentent toujours des forces qui doivent être vaincues.
  
  Josée
  On a tellement de valeurs et on les aime, on les garde, on pense qu'on a les valeurs à la bonne place. mais quelle différence y a t il entre une valeur et un trauma ? aucune dans le fond. on est traumatisé par un passé lointain qui date de quand furent implantées nos valeurs, et, comme l'explique le syndrome de stockholm, on fait des pieds et des mains pour servir nos valeurs. tellement que c'en est devenu des réflexes subliminaux. On obéit aux sirènes, on suit les vents divins. on croit avoir besoin de se mériter le paradis à la fin de nos jours, besoin d'avoir l'air gentille, besoin d'entrer dans le jeu de l'autre à nos dépens, besoin de ne pas gaspiller les ressources, etc. Quelle que soit notre échelle de valeurs, elle constitue une pression traficotée par des forces invisibles et administrée par le biais de notre inconscience de leur existence. toute valeur a pour raison d'être de nous dévier du port. rien n'a de valeur sauf notre gouvernail, la volonté, ce pouvoir de faire fi de toutes les sirènes.
  
  Edwige
  Le chevauchement et la possession, par des entités dominatrices et vampiriques, ne font pas long feu dans la conscience d'un ego qui est dans son mental supérieur et ancré dans l'énergie de son double. Le refus de contrôle et de soumission est le premier combat, dont il sort vainqueur, quelles que soient les pertes et fracas qu'il dût endurer.
  
  Valeurs et traumas sont des vieilles mémoires, remontant à la nuit des temps, conditionnées par des tribus qui se différenciaient selon leur valeurs, coutumes, rites sociaux etc. La spiritualisation des consciences n'en a pas fini de relever les statistiques de ces traumas générés par les bourrages de crânes qui "constituent une pression traficotée par des forces invisibles et administrée par le biais de notre inconscience de leur existence". La seule valeur de l'ego est de prendre conscience qu'il est à l'origine sans qualité ni défaut.

• #19

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:22)

  19 Bernard
  Il saura réaliser que son être est le produit de sa volonté. Il saura réaliser que son être n'est que le produit de sa volonté.
  
  Josée
  L’être intégral est le produit de la volonté parce que tout vient saper l'homme sans volonté. L’être intégral est le produit de la volonté parce qu'il ne resplendit qu'à force de développer de la volonté - ce qui vient à force de l'exercer extrêmement énergiquement. L'être n'est que le produit de la volonté parce que la volonté a pour produit la RÉCEPTION des autres principes de l'êtreté que sont l'intelligence et l'amour.
  
  Edwige
  Depuis toujours, dans ce parcours de vie initiatique, l'humain n'a eu de cesse, par sa volonté, de surmonter les obstacles qui voulaient le rapetisser dans son être.
  
  L'homme se fait saper quand il est sans dessein, autrement même avec peu de volonté il peut sortir du lit pour aller pisser.
  L’être intégral est le produit de la performance de sa volonté à conscientiser son ego pour le faire migrer de l'étage inférieur à l'étage supérieur.
  L'être résulte de sa volonté à survivre aux tempêtes de sa vie, l'esprit et le jumeau témoins on permit à l'intelligence de peaufiner un processus initiatique. L'amour réel ne fut pas utile au développement de sa volonté et de son intelligence. Voilà ce qu'en dit BDM par ailleurs :
  "Ce dont l’être humain a le plus besoin au cours de la nouvelle évolution, c’est de l’intelligence et de la volonté, et non de l’amour. L’être humain n’en a pas assez de vécu d’Amour, c’est pour ça qu’il essayait de se mettre en état de Grâce, mais l’être humain essaie de se mettre en état d’amour parce que l’amour qu’il connaissait est un amour émotif, mais l’être humain de la nouvelle race, ne pourra pas se servir de l’amour sur le plan matériel, parce que l’Amour Cosmique on ne peut pas s’en servir sur le plan matériel. C’est une force qui est trop grande. L’Amour sur le plan cosmique, c’est une force qui ne peut être utilisée que sur l’éthérique où il n’y a pas d’émotion, mais sur le plan matériel l’être humain peut se servir de l’intelligence et de la volonté, et c’est de ceci dont l’être humain a besoin".

• #20

  Josée (vendredi, 14 février 2020 20:23)

  20 Bernard
  L'homme nouveau, l'homme psy, s'invitera au cours de l'évolution, à contempler non pas son être, mais la puissance de son être. Il en arrivera à voir, à sentir, à percevoir, à toucher des doigts, la puissance mentale de son être.
  
  Josée
  Exercer la volonté est l'apprentissage de l'homme dans sa capacité de contempler non pas son être, mais la puissance de son être.
  
  Edwige
  Reconnaissant sa grandeur, face à ses forces involutives, il observe et mesure combien est grande l'infinité colossale de son mental supérieur.
  
  L'humain dans sa volonté intégrale ne contemple plus, il savoure sa souveraineté dans sa toute-puissance par rapport aux forces qui lui ont menti sur sa réelle nature.

• #21

  Edwige (vendredi, 14 février 2020 20:45)

  21 Bernard
  La frustration n'est que l'exercice contre l'homme de certaines forces qui veulent le faire souffrir, pour des raisons d'involution, ou pour des raisons d'évolution. L'homme doit détruire ces forces, car l'homme doit détruire tout en lui, de ce qui n'est pas l'expression de la volonté. Ceci est une loi de l'homme lumière. Ceci est une loi de la lumière dans l'homme.
  
  Josée
  Grâce à sa volonté, l'homme non seulement répérera mais détruira tout ce qui n'est pas son expression. Sa fermeté permanente triomphera de l'intégralité des alizés qui lui passent par la tête, peu importe à quelque niveau qu'ils vibrent. Par l'esprit-volonté dans l'homme, tous les événements, les pires souffrances, les ultimes défis, seront désarmés un après l'autre de leur aspect menaçant. Par la lumière dans l'homme, événements et pensées seront vus pour ce qu'ils sont : des images avec des agendas - et les agendas seront aussitôt désarmés par la puissance de désarmement de la lumière. Commence aujourd'hui l'étape de la pénétration omnilatérale de l'esprit-volonté où le temps de l'océan ne devient plus qu'une enfilade de cadres d'exercice.
  
  Edwige
  La lumière dans l'homme c'est sa conscience prépersonnelle (esprit) qui possède en son sein les lois du feu cosmique de l'origine des origines de la source de toute vie. Cette source de vie à des projets qu'elle vit par procuration. Ses intermédiaires ont un rôle évolutif ou involutif, selon la programmation de chacun, mais ils sont parasités par des forces lucifériennes qui, elles, sont à combattre car elles déjouent les projets du plan originel.
  
  La volonté peut devenir un ouragan qui détruit tout ce dans quoi l'ego ne se reconnait pas. Son discernement lui montre le réel dans le cinéma qui lui est présenté, il transige lorsqu'il sait que les tests qu'il subit sont utiles à son initiation.