BDM/DM:119 Oppositions de vie dans la pollution mentale
Ce que je veux dire, c'est que le jour, quand vous n'avez pas de problème, ça va bien, tout va bien. La belle-mère elle vient de mourir, elle vous a laissé trente mille piastes, tu n'as pas de problème dans ta vie quand ta belle-mère elle meurt, qu'elle te laisse trente mille piastes, t'as plus de “bibittes”, tu ne vas plus voir le psychiatre Tu ne vas pas voir le psychiatre puis lui dire : “Monsieur le psychiatre, ma belle-mère m'a laissé trente mille piastes, je suis bien mal avec ça”, à moins d'être réellement malade ! (rires du public).
Ça fait que quand ça va bien, tu n'en as pas de problème dans ta tête, c'est quand ça va mal que tu as des problèmes, c'est quand tu as entendu parler à travers ton “chum” que ta “blonde”, elle est sortie avec un autre gars, là c'est là que ça va mal dans ta tête...
DM : Puis que t'oublies les trente mille piastres!
dM : Là, t'oublies tout, comprends-tu ?
Ça fait que ça revient... votre question est bien importante parce qu'il y a une priorité dans la question.
Ce n'est pas nécessairement ce qui se passe dans votre tête qui est le problème, c'est ce qui se passe dans la vie que vous avez laissé développer qui, éventuellement, va créer dans votre tête de la confusion.
DM : OK. Là vous semblez dire que si on agit sur la forme, sur la matière, on fait de l'ordre dans notre tête ?
BdM : Si vous mettiez de l'ordre dans votre vie-là, tout le temps, tout le temps, tout le temps, tout le temps, tout le temps, tout le temps, tout le temps, tout le temps...