PRINCIPES CONCEPTUELS ÉVOLUTIONNAIRES
Science vulgarisée d'Armand Desroches
http://www.use-quebec.ca/download/Livre_4.pdf
Objectivité: elle est en principe issue d’un psychisme dont la conscience mentale psychologique est «non-influençable émotivement», donc «anémotive» et qu’ainsi rien ne peut la «émotionnellement la démolir» pour ainsi dire. La conscience demeure donc «émotionnellement neutre» face à toutes pensées ou influences extérieures, à moins qu’ils ce soient de réels dangers. Selon son évolution, cette conscience n’est donc plus régie par les lois émotionnelles de la Terre et, conséquemment, elle demeure en tout temps de grande «lucidité objective». En principe, elle est «retirée» des lois émotionnelles parce qu’elle en a terminé l’intégration.
Subjectivité: elle est issue d’un psychisme dont la conscience mentale psychologique est émotivement affectable par des pensées et des influences extérieures, donc qu’il est encore dominé sous les lois émotionnelles. En principe, un mental subjectif est «émotionnel» et ainsi capable de peu de lucidité objective bien qu’il croit en avoir à revendre. Ce mental se situe encore dans une phase primaire du développement de la conscience. Il est dit involutif, car il est «bibittisé» de mémoires négatives engrammiques provenant de chocs émotionnels traumatisants du passé qui sont dits des engrammes et qui névrosent plus ou moins l’individu, rendant l’égo psychologiquement réactionnel à ceux-ci. C’est-à-dire qu’il s’exprimera compulsivement, malgré sa volonté contraire, par des comportements subjectifs tordus, aliénants, anormaux, dissonants, incohérents, névrotiques, assujettissants, dominants etc. À son insu conscient et engrammiquement piégé, l’égo réagira réactionnellement face à un «symbolisme associatif» qu’il perceptera au cours de son expérience et qui correspondra à ses «référents inconscients» de nature mémorielle morbide. Il deviendra alors subtilement restimulé, émotivement réactionnel, agissant alors inconsciemment contre son gré. C’est pour toutes ces raisons précitées de programmations engrammiques et de conditionnements réactifs subtils en découlant, que l’individu involutif est dit subjectivement inconscient...
Postulat : c’est une décision subjective inconsciente dans le cas d’un être involutif, et décision objective consciente dans le cas d’un être évolutionnaire. À son insu conscient, l’Humain involutif est assujetti au niveau d’un mental inférieur psychologique.
Psy / psycho : c’est l’âme sensitive, émotionnelle, mémorielle, expérimentale et subjective si de statut involutif.
Logique = logos = science rationnelle
Psychologique : «logique réactive émotionnelle» de l’âme imprégnant énergétiquement le cerveau humain
psychanalyse : méthode de psychologie clinique. Investigation traditionnelle des processus psychiques conscients ou inconscients. Traitements de troubles mentaux (névroses) et psychosomatiques par cette méthode utilisant le plus souvent des médicaments tentant de rétablir les fonctions normales du cerveau.
Psychosomatique : qui se rapporte à des troubles organiques du corps physique causés par un état psy émotionnellement morbide. État physique aggravé par des facteurs psychiques affectifs ou émotionnels causant finalement la maladie physique.
Psychisme: l’ensemble psychique énergétique des fonctions mentales, telles les capacités de: mémorisation, d’analyse, de calcul, de comparaisons, de projections imaginatives sur l’écran-mental, de discernement, de déduction, et autres, et finalement de décisions qui, électroneuroniquement, commanderont au cerveau les actions du corps physique.
Psyché : ensemble des phénomènes psychiques considérés comme faisant partie de l’unité de conscience habitant énergétiquement le cerveau humain.
Conscience psychologique subjective : elle est issue d’un mental inférieur «émotionnellement fusionné» pour ainsi dire aux Forces Astrales gérant l’expérience involutive de l’unité de conscience habitant l’être humain.
Conscience évolutionnaire objective : elle est issue d’un mental inférieur qui a «psychiquement transmuté» à un mental supérieur évolutionnaire en «fusion psychique» avec les Forces Éthériques de La Lumière gérant désormais l’expérience évolutive de l’unité de conscience habitant l’Humain.
Intellect : il est une fonction psychique «logique rationnelle» du psychisme. C’est une des dimensions psychiques du mental qui sert à l’expression orale, écrite ou facultés au service de la survie dans la matérialité, mais non de la morale philosophique par exemple, qui est traitée par la dimension esprit. Il sert donc principalement à la mémorisation de la connaissance scientifique par exemple, ou celle tirée sur le tas de l’expérience et conservée en mémoires, sous formes énergétiques immatérielles, dans les banques de données mémorielles du mental. Ces informations mémorisées en conscience pourront être ensuite actualisées dans la matérialité puisque nécessaires à la survie.
Esprit : la dimension esprit, du psychisme, sert l’aspect moral. C’est une fonction psychique servant, dans un premier temps involutif, à la canalisation occulte et l’intégration en conscience de la somme des vertus vécues à travers l’expérience et dont la finalité, dans un second temps évolutionnaire qui surviendra, sera un sens éthique intégré chez la personne.
Impulsion : elle est une action spontanée réactive. Emportement inconscient, instinctif, irréfléchi, irraisonné, réactif, parfois intempestif.
Compulsion : elle est un acte se réalisant contre la volonté égoïque qui résiste parce qu’elle est en désaccord. Contrainte mentale inconsciente qui doit se réaliser dans la réalité contre le gré de l’individu ne pouvant ainsi empêcher l’acte de se produire. Impossibilité de ne pas accomplir un acte puisque le non-accomplissement est source de culpabilité inconsciente ou d’angoisse émotive par exemple. Comportement réactif irrésistible, qui survient suite à un harcèlement mental d’entités astrales le poussant coercitivement à le faire. Ce sont des sollicitations harcelantes invitant par exemple l’individu à s’empiffrer d’aliments, fumer, s’alcooliser, se droguer pour satisfaire ses désirs d’appétence.
Attitude : elle est une disposition intérieure inconsciente de la conscience chez l’individu, qui ignore être en quête d’estime personnelle par exemple, et qui va «illusoirement» afficher une «contenance extérieure» afin de projeter une image de sa personne qui, évidemment, n’est pas authentiquement sienne et ceci pour mieux psychologiquement et émotionnellement survivre. C’est un conditionnement mental réactivement causé, à sa source, par des chocs d’impressions émotionnelles ou des influences émotives marquantes se traduisant par la suite en réactions de comportements tordus, insolites, détestables, qui vont inévitablement générer du conflit émotionnel dans l’environnement humain.
Comportement réactionnel : actions involontaires en rapport réactionnel avec les attitudes inconscientes.
Insécurités émotionnelles : craintes, angoisses, anxiétés, peurs, frayeurs, inquiétudes, insécurités, phobies. Ce sont des sensations de paniques émotionnelles chez l’être humain, donc des émotions morbides qui le névrosent et dont la résultante est une confusion mentale aberrante qui consume l’individu vitalement, et rend psychosomatiquement malade son corps physique.
Charges émotives : elles sont créées par la dramatisation mémorielle des émotions psychologiques morbides ; accumulation de «tensions nerveuses», issues d’un non-dit émotionnel autodestructeur, qui s’accumulent comme une pression intérieure prête à exploser ; énergies émotives morbides surchargeant inconsciemment la conscience ; l’organisme physique est réactivement gonflé à bloc par des mémoires négatives engrammiques provenant de traumatismes subis et frustrations passées de toutes sortes et provoquant un stress conflictuel non résolu en la personnalité. Ce sont ainsi des charges énergétiques émotives qui exploseront un jour avec fureurs démentielles réactives, intempestives, agressives, et parfois même suppressives sur l’environnement humain. Cela survient le plus souvent par inadvertance, l’individu qui semblait inoffensif, en apparence, devient alors subitement hors-de-lui via une parole entendue, un geste percepté, ou un événement inopportun qui lui survient, mais «symboliquement associatif» à des mémoires émotionnelles morbides qu’il porte inconsciemment.
Impression émotionnelle : une impression émotionnelle subjective est un état psychologique qui survient dans la conscience suite à une situation choc de traumatisme émotionnel, qui se traduit aussitôt dans l’organisme en des sensations émotionnelles désagréables, souffrantes, psychologiquement pénibles à devoir supporter, et qui s’enregistreront en mémoires négatives engrammiques s’inhibant finalement dans l’inconscient mental. Une impression émotionnelle objective, comme la rencontre d’une personne exceptionnelle, est agréable et s’enregistrer en mémoires que la conscience aura l’agréabilité de se souvenir. Mais il ne faut pas oublier que ce sont «globalement les apparences qui créent l’impression.
Inconscient mental : il est une dimension du psychisme qui échappe presque entièrement à la conscience en éveil.
Inhibition : refoulement et intégration en mémoire inconsciente d’un événement choc émotionnel trop traumatisant pour être conservé dans le conscient en éveil, et état inusité de compulsions réactives subjectives qui en résultera pour l’individu. Des mémoires négatives engrammiques seront «inhibées» par exemple, à partir d’événements chocs dramatiques créant des impressions émotionnelles morbides chez l’individu, et il en résultera des pollutions psychiques communément dénommées des bibittes psychologiques entre les deux oreilles. C’est donc un mémoriel subjectif qui va «s’inhiber» dans le mental inconscient à l’insu de l’individu et mémoires négatives engrammiques qui deviendront suppressives à son corps physique. Ces engrammes vont aussi créer de la dissonance psychologique dans son entendement et cela se traduira en comportements réactionnels tordus, névrosés, insolites, absurdes, illogiques, incohérents, extravagants, incompréhensifs, agressifs, violents, dominants, demeurant donc conflictuels et non résolus.
Intellectuance : elle se résume en la «capacité mentale de comprendre et mémoriellement retenir l’information» et, par la suite, «l’aptitude» de se «souvenir» de son contenu, c’est-à-dire la «capacité» de «retrouver» l’information dans les banques mémorielles du mental et adéquatement s’en servir pour des accomplissements. L’information mémorielle peut provenir soit de la «connaissance scientifique» ou soit de «l’observation» de l’expérience passée accomplie sur le tas de l’apprentissage en action. C’est à partir de l’intellectuance que l’on établit le quotient intellectuel qui, erratiquement, est considéré comme l’intelligence, alors que celle-ci n’est que le produit plus ou moins performant d’une intellectuance. La dimension «morale» esprit du psychisme doit intervenir avec son sens éthique pour, en duo, rendre véritablement «intelligent» l’intellect.
Intelligence : elle est le produit d’un intellect composant avec la dimension esprit du psychisme lorsque ce dernier est «ouvert» comme un chakra, c’est-à-dire en fusion psychique progressive avec le Double. C’est seulement à ce moment là que l’égo devient progressivement éthique et que l’être peut être dit intelligent.
Connaissance: elle est la somme conjuguée des diverses informations glanées sur le tas de l’expérience humaine, ou à partir d’études dans des livres contenant le savoir accumulé des autres.
Savoir : il survient des informations ou enseignements d’intelligenciations subtiles psychiquement canalisées via la télépsychie du Double Éthérique suite au phénomène de fusion psychique avec lui.
Faculté : «capacité intellectuelle» d’utiliser la «connaissance intégrée» et pouvoir «pragmatiquement» la traduire dans un accomplissement matériel.
Aptitude : elle est une disposition naturelle synonyme au talent.
Talent : il est une aptitude fondée. Il fait partie des prédispositions d’aptitudes décidées en fonction du plan-de-vie avant l’incarnation énergétique du psychisme dans le cerveau d’un Humain de la Terre.
Discernement mental : il se développe par «l’intégration mémorielle d’enseignements subtils» se réalisant sur le tas de l’expérience concrète. Il se bâtit à partir «d’essais», de constatations des «erreurs» et des «corrections» apportées à celles-ci. Donc le discernement d’intégration expérimental = essais, erreurs et corrections.
Clarté mentale : elle varie chez l’individu selon le taux de qualité discriminatoire établissant le choix décisionnel entre les différents discernements possibles.
Discernement mental décisionnel : c’est la décision optimale à prendre entre tous les discernements possibles.
Opinion : elle est une courte «synthèse optimalement vulgarisée» qui se réalise à partir d’informations provenant des expériences et des connaissances de l’individu, résultant donc en conclusions, plus ou moins avisées, provenant de son champ de conscience. En principe, l’individu offre le «meilleur de son entendement» sur une question. Une feindre une opinion mensongère pourrait être «intentionnellement stratégique» pour semer la déroute.
Lucidité objective d’esprit : c’est un état conscient objectif qui permet un choix décisionnel optimal instantanément absolu lorsque le psychisme est parvenu à évolutionnairement transmuter du mental inférieur au mental supérieur. C’est le savoir instantané, absolu, optimal de l’action à prendre dans le contexte actuel.
Intelligence évolutionnaire : elle n’est pas issue de «l’intellectuance» qui fait partie de l’intellect à son service et qui la supporte, elle s’exerce dans une clarté lucide objective et créative à travers les obstacles expérimentaux et ainsi initiatiques de la vie.
Conscience : con = avec, c’est donc «avec» des «informations» ou des «enseignements» tirés en «discernements mental d’expérience» et «intégrés en conscience» que l’être évolue vers une certaine «maturité d’esprit» ; cette conscience se bâtit au fur-et—mesure des «intégrations de compréhensions psychologiques» réalisées au cours de prises-de-conscience.
Mental psychique ou le psychisme : il est d’abord un «outil intellectuel perfectionné» qui s’affaire prioritairement au service de «la survie tous azimuts» du corps physique qui le porte. Par conséquent, il protège «sa propre survie psychique» cherchant à gagner le plus de temps possible avant que la mort physique ne survienne. Il est un «ordinateur mental énergétique» qui reçoit des données de vie à travers le cerveau, à partir des cinq sens perceptuels dont : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, le toucher. Il les mémorise, les analyse et les synthèse plus ou moins instantanément dans un raisonnement décisionnel se voulant le plus optimal et pragmatique, et faisant réagir le corps physique en fonction des intérêts liés à sa survie. Donc des mécanismes mentaux subtils emmagasinent mémoriellement les données perceptuelles des sens, bonnes ou mauvaises, dans des banques mentales mémorielles afférentes. Le mental analyse, compare, calcule, rationalise, projette, synthèse, déduit, accepte ou rejette, conclue, et finalement «décide» en transmettant des signaux électroneuroniques à des micros régions du cerveau en fonction que ce dernier, agissant comme interface, actionne les membres du corps physique en fonction d’actions à accomplir.
Symbolisme mémoriel : c’est ce qui est «associatif» à un des «éléments» faisant partie d’un contexte de vie passé, par exemple comme «certains mots particuliers» qui ont marqué l’individu, un «bruit» qui a eu lieu à ce moment là, un «objet matériel» qui était là présent. Ainsi par «association mémorielle», un symbole quelconque, émergeant de l’environnement humain ou matériel, peut correspondre à des mémoires positives conscientes, ou à des mémoires négatives dénommées des engrammes psychiques inhibées dans les profondeurs de l’inconscient mental et les faire émerger à la conscience et faire psychologiquement souffrir l’égo.
Folie et paranoïa : c’est donc à partir des cinq sens, liés neurologiquement au cerveau, que le mental psychique, qui énergétiquement l’imprègne biologiquement, perçoit des informations environnementales que les automatismes mentaux vont tendre, dans l’instantanéité, à comparer à leurs référents mémoriels d’expériences passées et, consciemment, l’égo réagit en connaissance de cause. Mais survient un phénomène émotionnellement désemparant où des «apparences», issues de l’environnement, se traduisent parfois en un symbolisme subtil correspondant «associativement» à «l’un des éléments» faisant partie d’une mémoire engrammique émotionnellement douloureuse stockée dans l’inconscient mental, et ce qui rendra réactionnel l’égo mais sans pour autant qu’il en arrive à en «identifier la cause». Il réagit ainsi «compulsivement», malgré donc sa volonté contraire et, le drame, c’est qu’il «demeure incapable d’identifier la cause réelle de sa réaction compulsive». Ce phénomène émotionnellement désemparant fera déraper l’égo vers un état de folie ou de paranoïa.
Conscience mentale élémentaire : le corps humain émotionnel de désir et de plaisir ne sera satisfait et rassuré que lorsque la hiérarchie des besoins fondamentaux de la personne, ne réalisant pas qu’elle est en survie tous azimuts, seront successivement comblés. Ainsi pour exercer une performance optimale, le corps physique doit d’abord fondamentalement respirer, boire, s’alimenter, éliminer, mécaniquement activer ses membres physiques et dormir.
Des besoins émotionnels doivent ensuite être successivement satisfaits :
a) La sécurité physique et matérielle, qui génère la quiétude émotive.
b) Aimer et être aimé affectivement ou sentimentalement.
c) Établir un statut de reconnaissance ou d’estime de soi.
d) Répondre à la créativité de l’imagination intellectuelle en actualisant des réalisations matérielles.
e) Tendre à moralement évoluer vers une maturité d’esprit.
f) Établir des liens satisfaisants de communication interpersonnelle.
g) etc
Le corps physique est animé ou dynamisé, via le cerveau, par un psychisme mental énergétique et un système émotionnel projetant des désirs sur l’écran-mental, stagnant en attente des plaisirs fournis par les cinq sens. Tous les déplaisirs sont synonymes de non-survie mentale émotionnelle et soulèvent la peur. L’Humain est un robot biologique dont la conscience intelligente émotionnelle est «programmable» et donc «conditionnable». L’individu apprend à lire, à écrire, à marcher, à calculer, à se défendre, à faire du sport, à travailler pour bâtir et survivre, et tous ces mécanismes autonomes sont mémoriellement intégrés dans l’inconscient mécaniste du psychisme de façon à désencombrer la conscience mentale en éveil supportant l’expérience.
Mental psychique : il enregistre autant mémoriellement les bonnes que les mauvaises données perçues par les cinq sens et qu’il entrepose, respectivement, dans le conscient ou l’inconscient mémoriel. Il traite «critiquement» avec les «données conscientes», et «réactionnellement» avec les «données inconscientes» stockées dans ses banques mémorielles d’informations référentielles.
Donnée fausse : elle pourra être «considérée» comme une «bonne donnée», si elle a été «acceptée» comme «bonne» par le mental conscient. Le phénomène «d’acceptation logique» imprime alors mémoriellement la donnée comme «positive» à la survie, alors que l’individu a été trompé comme l’absorption d’un placebo par exemple.
Impression émotionnelle : c’est «l’intensité» de «l’importance» que l’on accorde à un événement ou à une personne, qui va créer une «impression émotionnelle» qui marquera plus ou moins la conscience, et plus le choc est grand et plus la mémoire est «vive et récupérable» des banques mémorielles du mental. Les autres mémoires de vie, qui ont moins «impressionnées», deviennent alors des mémoires volatiles qui disparaîtront graduellement des banques mémorielles pour ne pas inutilement les encombrer. Le psychisme est une merveille inventée par les Créateurs Concepteurs Éthériques.
Peur : elle est le principal «outil émotionnel» éconduisant l’individu, dominé sous les lois émotionnelles, en initiation d’expériences de conscience. C’est cette énergie morbide des peurs qui, plaçant l’être en survie psychologique émotionnelle, contribue à «l’éconduire malgré lui» à travers beaucoup d’expériences initiatiques imprévues qui l’achemineront involontairement vers une maturité d’esprit. Il en est de même avec l’outil occulte de l’énergie de l’ennui ou de la culpabilité par exemple, dominant le psychisme pour ne nommer que ceux-ci.
Survie psychologique émotionnelle : l’individu est psychologiquement impressionnable émotionnellement surtout en bas âge alors que le bois mental émotionnel est le plus tendre, le plus fragile et vulnérable. Il ignore donc qu’il est en survie psychologique émotionnelle. Toutes les impressions émotives s’enregistrent mémoriellement, mais face à une «trop forte» impression psychologique, issue de chocs émotionnels dramatisés par une trop grande peur par exemple, simultanément, interviendra une mécanicité mentale d’autoprotection qui débranchera momentanément l’état de conscience du corps physique dans le but de le protéger d’une crise cardiaque par exemple.
Souvenir : il est un processus énergétique «lent» du mental conscient. Il ramène, à la conscience, une mémoire des banques mémorielles pour y être traitée rationnellement et psychologiquement.
Impression agréable : elle est conservée en mémoire mentale et se traite aisément par le conscient psychologique qui «veut se souvenir».
Réaction psychosomatique : une mémoire se traduit «harmonieusement» dans le corps physique si la conscience n’est pas placée en position de survie psychologique. Si la mémoire est de nature morbide souffrante, elle se traduira
Perception sensitive: lors d’un événement quelconque, un choc d’impressions émotionnelles morbides crée dramatiquement de la souffrance psychologique rendant immédiatement en survie le corps physique. L’information mémorielle morbide sera immédiatement «rebutée» par le conscient mental qui n’aspire qu’au plaisir, et conséquemment la mémoire informationnelle sera alors «repoussée» de la conscience pour «basculer» finalement dans l’inconscient mémoriel qui «l’inhibera» puisque que le mental conscient ne peut émotivement supporter cette énergie troublante. Le conscient donne donc l’ordre «d’oublier au plus tôt» tout l’événement de déplaisir.
Mécanismes mentaux d’autoprotection : ils ont comme fonction de protéger la sensibilité de la conscience et basculent donc, plus ou moins profondément, l’événement négatif dans l’inconscient mémoriel. Tout incident dramatique se transforme ainsi en mémoires négatives énergétiques dans le mental inconscient, parce que le mental conscient n’est pas en mesure de le rationnellement traiter ou de émotivement tolérer l’information sans psychologiquement souffrir.
Mémoires négatives engrammiques, dénommées engrammes, dorment sous les cendres mémorielles de l’inconscient mental. Elles demeurent là en potentiel réactionnel destructif, en émotions irrationnelles subjectives pour l’être humain qui les porte inconsciemment.
Restimulation : si par inadvertance un engramme mémoriel inconscient est «restimulé» à la conscience, c’est-à-dire qu’il aura été inconsciemment éveillé et émotionnellement dynamisé via une «association symbolique» d’impressions mentales psychologiques perceptées à partir de l’environnement humain ou matériel. Même des «éléments», des «détails» tout à fait «banals» dans les événements appartenant à la vie quotidienne, pourront faire «émerger», vers le conscient mental psychologique, des engrammes de mémoires négatives provenant de l’inconscient mental, et créer de la souffrance psychologique émotionnelle demeurant alors «totalement incomprise» par l’égo. Si la situation s’intensifie, débutera alors un état névrotique avancé et inexpliqué qui se dramatisera et qui aboutira probablement à la folie ou la paranoïa par exemple...
Confusions névrotiques : chaque fois que cette mémoire négative engrammique sera émergée de l’inconscient mémoriel vers le conscient en éveil, elle restimulera réactivement l’individu d’une façon morbidement émotive contre son gré. Cet engramme alors s’amplifiera émotionnellement dans un mental conscient, qui se perturbera alors dramatiquement en confusions névrotiques de toutes sortes, pour atteindre des dimensions réactionnelles disproportionnées de la réalité originelle qui avait créé la mémoire négative.
Hyperactivité mentale psychologique : pour tenter de résoudre cette souffrance névrotiquement émotive, communément dénommés problèmes émotionnels qui le rendent mal-dans-sa-peau, c’est malgré sa volonté que l’individu entre alors dans d’intenses analyses psychologiques cherchant une solution pour s’en sortir.
Conscience subjective : l’être ignore «consciemment» que les mémoires négatives engrammiques, en dormance sous les cendres de l’inconscient mental dont il ignore aussi la réalité, lui créent des dégâts émotionnels dont il ne peut identifier la cause réelle. Il ne peut ainsi réaliser qu’elles lui fabriquent une conscience subjective, se traduisant en attitudes comportementales tordues, bizarres, lui bâtissant des carences en besoins inassouvis de toutes sortes, lui générant du non-dit intérieur implosif et émotionnellement autodestructeur. Toutes ces subjectivités inconscientes engrammiques sont des générateurs d’incidents conflictuels qui soulèvent des combats d’égos entre les individus. C’est ce que l’on dénomme la «susceptibilité».
Épuration mémorielle des engrammes : L’être humain ne pourra donc devenir «conscient» que par «l’épuration mémorielle» de ce mémoriel inconscient négatif qui lui génère : confusions, névroses, aberrations, aliénations, hallucinations, illusions, compulsions, et c’est peu dire. Reste que c’est toujours l’environnement humain qui écope conflictuellement des réactions suppressives de l’individu et qui en «subira» les souffrances émotives à partir d’engrammes destructeurs dans le mental inconscient de l’être.
Dégénérescence engrammique : Ces engrammes, psychologiquement dégénérés dans l’inconscient mental, créent donc des attitudes comportementales tordues dénommées de la subjectivité en terme psy. Ils «voilent», de leur énergie négative, le raisonnement sain intelligent et «obligent» la personne à des agissements comportementaux déviants.
Angoisse et anxiété : Tant que toutes ces mémoires négatives, qui créent engrammiquement la subjectivité, ne sont pas «épurées» du mental inconscient, l’individu souffre psychologiquement puisqu’il est «émotivement charrié» entre l’angoisse mémorielle du passé, et l’anxiété dramatisée d’un futur possible de survie émotionnelle.
Chaos névrotique : dans le champ perceptuel d’un mental psychologique, même une ligne droite, une courbe, un cercle, une couleur, une forme, une image, un son, un bruit, un mot, une intonation, une chose, un animal, un insecte, un humain, un contexte, un comportement, une démarche, une expression, une attitude, une ambiance, une apparence, etc, peuvent «symboliquement ou associativement» faire appel à des mémoires engrammiques destructrices. C’est donc parce qu’ils «correspondent symboliquement» à des «éléments» faisant partie du contenu mémoriel d’un engramme déjà inhibé, plus ou moins négativement, dans l’inconscient mental. C’est l’énergie négative de l’engramme qui biaise subjectivement, qui crée de la distorsion subjective des valeurs de des informations objectivement perçues par l’individu, lui créant alors un chaos névrotique involutif qui s’intensifie toujours.
Influences subjectives : elles proviennent subtilement de la dégénérescence des engrammes de l’inconscient mental et assujettissent l’égo à des réactions compulsives qu’il ne peut s’expliquer et qui, à son insu, éloignent la conscience d’un «discernement sain» à partir d’une observation qui se voudrait consciemment objective.
Œil psy évolutionnaire : la pluralité des mémoires négatives, emmagasinées dans un mental qui devient de «moins en moins conscient», donc de plus en plus «inconscient», engendre un état mental névrotique mais permettant tout de même à l’individu, en toute apparence illusoire, de «sembler» fonctionner soit disant «normalement» dans son quotidien involutif. Seul un œil psy évolutionnaire peut en détecter la névrose fébrile engrammique.
Conscience objective : elle se bâtit «progressivement» dans un mental s’épurant «graduellement» de ses mémoires négatives engrammiques et donc de sa subjectivité. Ce qui, un jour, acheminera l’individu à l’atteinte d’une objectivité absolue, donc à une conscience absolue intégrale.
Grille subjective d’évaluation : c’est donc à partir d’une grille psychologiquement bibittisée, qui le voile subjectivement, que l’être humain involutif «diagnostique» constamment son environnement symbolique, réalité qui lui survient dans le champ perceptuel de sa conscience, mais celle-ci étant engrammiquement voilé de la sorte en permanence, conséquemment, son peu de lucidité l’empêche d’exercer un raisonnement objectif.
Illusions subjectives : ses appréciations ou ses jugements de la réalité lui sembleront quand même toujours valables puisqu’elles se réfèrent inconsciemment à des convictions subjectives de la «valeur tordue, distorsionnée» de ses préjugés. Ils auront ainsi servi à bâtir sa grille d’évaluation subjective qui l’égare dans un discernement souvent erroné qui le conditionne, à son insu, dans des actions de désordre.
Logique subjective inconsciente : elle assujettit, «malgré sa volonté», l’égo de la personnalité. L’individu devient donc «réactionnellement esclave» de sa programmation mémorielle engrammique et cela durera tant qu’elle n’est pas «psychiquement épurée» de l’inconscient mental.
Fusion psychique : l’entendement mental de l’individu involutif n’équivaut qu’à son intellect pour ainsi dire, et est dit de mental inférieur. Il devient de mental supérieur lorsque sa dimension psychique esprit «ouvre» sous le phénomène d’une transmutation psychique lui permettant le passage d’un premier seuil psychique évolutionnaire et l’accès progressif à l’intelligence du Double.
Taux vibratoire : le phénomène de fusion psychique permet la canalisation éthérique d’une énergie christique qui descend à l’adresse mentale de l’individu terrien, traverse son psychisme pour ainsi dire pour atteindre «l’intelligence des cellules du cerveau». C’est ainsi qu’à leur façon «intelligente», les cellules cérébrales neuroniques se revivifieront, se revitaliseront graduellement et, augmentant cérébralement leur «taux vibratoire», en conséquence, elle permettent un «plus haut taux vibratoire» du psychisme qui imprègne énergétiquement le cerveau. C’est conséquemment «l’élévation vibratoire» de ce duo du psychisme/cerveau qui permet à l’égo un accès à des registres d’intelligences de plus en plus élevés dans le Plan Mental Éthérique auquel tout psychisme est «énergétiquement raccordé». C’est une des raisons importantes pourquoi l’individu doit prendre «grand soin» de la santé de son corps physique et ne s’alimentant que de «cru-vivant», de façon à atteindre un état vibratoire optimal et compléter, en cette vie-ci, la progression de sa fusion psychique avec le Double.